Études morales et religieuses

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Attinger, 1913 - 374 pages
 

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Popular passages

Page 71 - Si quelqu'un veut faire la volonté de celui qui m'a envoyé, il connaîtra sur la doctrine, si elle est de Dieu, ou si je parle de moi-même.
Page 239 - Si quelqu'un m'aime, il gardera ma parole, et mon Père l'aimera, et nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui.
Page 364 - Croire, c'est regarder; c'est un regard attentif, sérieux et prolongé, un regard plus simple que celui de l'observation, un regard qui regarde et rien de plus : regard naïf, regard d'enfant, regard où toute l'âme se porte, regard de l'âme et non de l'esprit, et qui ne prétend pas décomposer son objet, mais le recevoir tout entier dans l'âme par les yeux.
Page 226 - Mais vous recevrez la puissance du Saint-Esprit qui viendra sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie et jusqu'aux extrémités de la terre.
Page 236 - C'est pourquoi je vous déclare qu'aucune personne qui parle par l'Esprit de Dieu, ne dit que Jésus est anathème, et que personne ne peut dire que Jésus est le Seigneur, si ce n'est par le Saint-Esprit.
Page 240 - ... attaché au dogme chrétien, il ne croit pas pourtant qu'il faille en introduire dans le chant les formules sèches et techniques. Sa poésie religieuse est pleine de vie, de chaleur; la forme parfois pourrait être plus soignée, plus achevée. D'après cet adage de saint Paul : « Toutes choses sont à nous, et nous sommes à Christ et Christ est à Dieu, » Knapp aborde les sujets les plus différents en les faisant tourner à la gloire de Dieu et en leur imprimant le sceau chrétien. C'est...
Page 119 - Je puis accepter désormais sans déchéance les limites, les contraintes, les nécessitations contre lesquelles je m'insurgeais tout à l'heure. Ces formes de ma sensibilité, ces catégories de ma pensée, cette loi de ma volonté, en lesquelles se marquait ma sujétion et qui m'opprimaient lorsqu'elles n'étaient autre chose qu'elles-mêmes, c'est-à-dire des faits obscurs et brutaux, ne sont plus des faits maintenant, mais l'expression de la volonté du Dieu que j'adore.
Page 299 - N'est-ce pas, du reste, ce que pressent et devine l'âme religieuse en face de Jésus-Christ ? Ce qui la prosterne au pied de la croix où il expire ? Elle contemple dans l'abaissement du Fils, dans la Passion du Fils, dans l'agonie du Fils, - - du Fils qui lui a révélé le cœur du Père, — l'abaissement, la Passion, l'agonie, et, si j'ose le dire, la mort du Père. Car le Fils ne pouvait souffrir sans que le Père ne...
Page 342 - Il fallait, pour une tâche, l'homme de la tâche, une individualité, quelqu'un ; il ne se trouve qu'un anonymat de bonnes volontés accomplissant collectivement, modérément, sagement, médiocrement ce qui aurait dû être fait dans la puissance, la hardiesse et la sécurité d'une vocation personnelle.
Page 324 - C'est elle qui en fait un acte, un acte de liberté, de vérité, de sincérité intérieure ; une action, la plus agissante peut-être des actions dont nous soyons capables.

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