Revue des sciences philosophiques et théologiques, Volume 4Librairie Philosophique J. Vrin, 1910 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
analyse Aristote babylonienne Boëce bouddhisme caractère catholique cause chapitre choses chrétienne Christ christianisme Christologie conception connaissance conscience considère critique croyance culte d'après d'Aristote déterminer développement Dieu divine doctrine dogme doit donne Égypte éléments étude eucharistique Évangile exposé forme formule général Gilles Gilles de Rome historique humaine idées intellectuelle Jahvé Jésus jugement Kant kantienne l'âme l'auteur l'Église l'esprit l'être l'existence l'histoire l'homme l'idée l'intelligence l'ouvrage l'Université livre logique lui-même ment métaphysique méthode Minéens monophysite morale nature Nippour notion objet ouvrage pensée phénomènes philosophie pragmatisme précisément premier primitive principe Priscillien problème professeur psychologie publié question quod raison pratique rapport rationnelle réalité réel reine du ciel relation religieuse religion révélation Revue des Sciences saint Thomas scientifique scolastique sens commun sentiment serait seulement Siger de Brabant sociale spéciale spéculative Spinoza sujet Sumériens surnaturel surtout système Tammouz Taoisme tendance Testament texte théologie théorie thèse thomiste tion valeur vérité VIII volonté vrai
Popular passages
Page 678 - ... je demeurais tout le jour enfermé seul dans un poêle, où j'avais tout le loisir de m'entretenir de mes pensées. Entre lesquelles l'une des premières fut que je m'avisai de considérer que souvent il n'ya pas tant de perfection dans les ouvrages composés de plusieurs pièces, et faits de la main de divers maîtres , qu'en ceux auxquels un seul a travaillé.
Page 724 - On me demande si je ne me repens pas d'avoir fait les Provinciales, Je réponds que bien loin de m'en repentir, si j'avais à les faire présentement je les ferais encore plns fortes. 2...
Page 515 - Je dirais que, dans les représentations collectives de la mentalité primitive, les objets, les êtres, les phénomènes peuvent être, d'une façon incompréhensible pour nous, à la fois eux-mêmes et autre chose qu'eux-mêmes. D'une façon non moins incompréhensible, ils émettent et ils reçoivent des forces, des vertus, des qualités, des actions mystiques, qui se font sentir hors d'eux, sans cesser d'être où elles sont.
Page 466 - Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.
Page 724 - On me demande pourquoi j'ai employé un style agréable, railleur et divertissant. Je réponds que si j'avais écrit d'un style dogmatique il n'y aurait eu que les savants qui l'auraient lu, et ceux-là n'en avaient pas besoin, en sachant autant que moi là-dessus : ainsi j'ai cru qu'il fallait écrire d'une manière propre à faire lire mes lettres par les femmes et les gens du monde, afin qu'ils connussent le danger de toutes ces maximes et de toutes ces propositions qui se répandaient alors partout,...
Page 316 - La maladie, en effet, est une expérimentation de l'ordre le plus subtil, instituée par la nature elle-même, dans des circonstances bien déterminées et avec des procédés dont l'art humain ne dispose pas : elle atteint l'inaccessible. D'ailleurs, si la maladie ne se chargeait pas de désorganiser...
Page 629 - Les sections seront au nombre de huit : 1 . Philosophie générale et Métaphysique ; 2. Histoire de la Philosophie ; 3. Logique et Théorie de la Science ; 4. Morale ; 5. Philosophie de la Religion ; 6. Philosophie du Droit ; 7. Esthétique et Méthodique de la critique ; 8. Psychologie. Les communications au Congrès doivent être envoyées au Secrétariat (Bologna, Piazza Calderini, 2) avant le...
Page 729 - ... j'ai bien reconnu que ses paroles pouvaient avoir un autre sens que celui que je leur avais donné : comme aussi je crois qu'elles lavaient, puisque le sujet de leur contestation était tout différent de ce que je m'étais imaginé.
Page 467 - Je sais qu'il a voulu qu'elles entrent du cœur dans l'esprit, et non pas de l'esprit dans le cœur, pour humilier cette superbe puissance du raisonnement qui prétend devoir être juge des choses que la volonté choisit; et pour guérir cette volonté infirme, qui s'est toute corrompue par ses sales attachements.
Page 522 - ... sauf erreur de sa part, — erreur du reste dont il doit y avoir, qu'on l'aperçoive ou non, quelque moyen de faire la preuve. Il ya donc pour nous une obligation et un devoir, il ya une morale, parce qu'il ya un jugement à porter sur le meilleur parmi les possibles à venir et que ce jugement s'imposant à toute raison saine s'impose du même coup à toute volonté droite, puisque la volonté doit bien s'efforcer de s'en inspirer en agissant, dans la mesure de ses forces, si elle veut rester...