Traité de politique et de science sociale, Volume 1Amyot, 1866 - 535 pages |
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Académie des sciences Aristote Athènes aujourd'hui besoin Buchez but commun d'activité c'est-à-dire Chine chose chrétienne ciété citoyens civilisation commun d'activité complétement conséquences conservation considère constantes sociales constitue contraire croyances d'autres définitive devoir division du travail doctrine doit donne effet Égypte elle-même enfants enfin esclaves espèce exemple existe facultés famille femme fonctions force forme formule galités général génération gouvernement Grecs habitudes hommes idées individuel individus instincts institutions intel intellectuelle intérêts l'éducation l'égalité l'enseignement l'espèce humaine l'état social l'histoire l'homme l'humanité l'individu langage lative législation liberté libre arbitre logique loi morale mariage ment monde monogamie moyen multanément nationalité nations nécessaire nerveux organique parents pensée peuples philosophie physique Polybe polygamie population posé pratique première principe produit progrès propriété puberté puissance qu'une question race raison rapport réalisation religieuse reste résultat révolution révolution française rien Romains Saint-Simon senatus populusque romanus sentiment serait seule siècle société politique sorte spirituelle suite système tendances théorie tion toyens
Popular passages
Page xx - Toute société doit travailler à l'amélioration de l'existence morale et physique de la classe la plus pauvre. La société doit s'organiser...
Page 280 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 285 - Toute obligation de faire ou de ne pas faire se résout en dommages et intérêts, en cas d'inexécution de la part du débiteur.
Page 219 - Tu NE CONVOITERAS POINT la femme de ton prochain; tu ne désireras point la maison de ton prochain, ni son champ, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.
Page xlvii - Je vous invite à prendre les mesures nécessaires pour que l'Assemblée nationale ne soit nullement troublée dans ses travaux, ni par des clameurs, ni par la foule, ni par des tentatives pour pénétrer dans son sein. « Prudence, modération et prévoyance : voilà ce que je vous demande. « Vous vous êtes plaint à moi de ce que j'avais envoyé des ordres directs, je renonce à ce moyen pour cette fois, en tant qu'il ne deviendra pas indispensable, mais aussi je vous rends responsable de ce...
Page 281 - Il ne dit point , ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fît; mais , Fais aux autres ce que tu veux qu'on te faffè.
Page cxxxiv - cherchez d'abord le royaume de Dieu et sa justice, et le reste vous sera donné par surcroît".
Page 334 - , et ils ont décidé que le champ cultivé est la propriété de celui qui le premier en a coupé le bois pour le défricher, et la gazelle, celle du chasseur qui l'a blessée mortellement.
Page xxx - La révolution française est la conséquence dernière et la plus avancée de la civilisation moderne, et la civilisation moderne est sortie tout entière de l'Évangile.
Page cxlii - Notice savante et très-étudiée sur la vie et sur les travaux de l'auteur. Tous les peuples de la terre formeront une vaste fédération, cimentée par la croyance de tous à la même loi morale et religieuse du christianisme. Chaque peuple se gouvernera lui-même par ses représentants élus. Il sera établi que la fonction essentielle du gouvernement est de faire progresser la société, et on ne tolérera que les pouvoirs qui rempliront fidèlement ce devoir. Il n'y aura plus de fonctions héréditaires,...