Revue de Paris, Volume 3Demengeot & Goodman, e.a., 1850 |
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... celle qui lui parlait n'était rien moins que Pascou- lette . Ami Cayrol , disait - elle en scrrant sa mante comme un rempart autour de sa fine taille , si vous ne devenez pas plus sage et plus patient , je ne viendrai 54 REVUE DE PARIS .
... celle qui lui parlait n'était rien moins que Pascou- lette . Ami Cayrol , disait - elle en scrrant sa mante comme un rempart autour de sa fine taille , si vous ne devenez pas plus sage et plus patient , je ne viendrai 54 REVUE DE PARIS .
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... Cayrol implorèrent son pardon , en exprimant un repentir si comiquement naïf , que la grande colère de Pascoulette se traduisit par un frais éclat de rire ; lorsqu'une jeune fille a ri , elle a plus que pardonné . -Bonsoir , maître Cayrol ...
... Cayrol implorèrent son pardon , en exprimant un repentir si comiquement naïf , que la grande colère de Pascoulette se traduisit par un frais éclat de rire ; lorsqu'une jeune fille a ri , elle a plus que pardonné . -Bonsoir , maître Cayrol ...
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... Cayrol vint s'étendre sur le gazon , à côté de sa cabane . Ne pouvant contenir le bonheur dont son âme était pleine , il se mit à contempler les étoiles , non pas , comme ses prédécesseurs de Chaldée , pour y surprendre les secrets de l ...
... Cayrol vint s'étendre sur le gazon , à côté de sa cabane . Ne pouvant contenir le bonheur dont son âme était pleine , il se mit à contempler les étoiles , non pas , comme ses prédécesseurs de Chaldée , pour y surprendre les secrets de l ...
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... Cayrol , campé un peu plus loin avec son troupeau , au centre de l'espace réservé à la vente des bestiaux . Assis à l'écart sur le parapet qui borde la promenade , Cayrol était absorbé dans la contemplation d'une pomme de pin sur ...
... Cayrol , campé un peu plus loin avec son troupeau , au centre de l'espace réservé à la vente des bestiaux . Assis à l'écart sur le parapet qui borde la promenade , Cayrol était absorbé dans la contemplation d'une pomme de pin sur ...
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... Cayrol n'étaient un sujet d'étonnement pour personne . On le voyait négliger le bâton du berger pour la bêche du jardinier ou l'aviron du batelier . Bien qu'il déployât dans ces derniers exercices une habileté peu commune , se fon- dant ...
... Cayrol n'étaient un sujet d'étonnement pour personne . On le voyait négliger le bâton du berger pour la bêche du jardinier ou l'aviron du batelier . Bien qu'il déployât dans ces derniers exercices une habileté peu commune , se fon- dant ...
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Common terms and phrases
amour Anaïs Arles arlésienne avez Batavia beau beauté belle bonheur bourgmestre bras Brest c'était Callimande capitaine Nanteuil Cayrol censure cent florins Chandra charme chose cœur comte Corrège costume coup critique d'Arles d'Izane devant Dieu dire dis-je Dormeuil douleur dramatique Dussault enfant esprit estampes êtes eût Feletz femme Féral ferrade fleurs Geoffroy gouvernement gravures heureux Hoffman homme Izane j'ai j'étais jeune fille jolie jour l'abbé Grival l'art l'Église laisse liberté m'écriai-je madame de Genlis madame de Nanteuil madame du Deffand mademoiselle d'Orcy mademoiselle de Nanteuil main Manfade ment monde n'avait n'était nuit papauté pape Pascoul Pascoulette passer pauvre peintre pensée Perdigone personne peuple Pie IX porte qu'un raison regard Rembrandt répondit reste rien romaine Rome ronguen rose s'écria sais Saulieu savez scène semble sentiment serait seul soir sorte taureau tête teuil théâtrale théâtres tion toilette Trinquetaille trouver tuan Léon venait visage voilà voix yeux
Popular passages
Page 247 - ... ne te reverrai jamais. Dieu passe, il t'appelle et m'oublie ; En te perdant, je sens que je t'aimais. Pas de pleurs, pas de plainte vaine Je sais respecter l'avenir. Vienne la voile qui t'emmène, En souriant je la verrai partir. Tu t'en vas pleine d'espérance, Avec orgueil tu reviendras; Mais ceux qui vont souffrir de ton absence, Tu ne les reconnaîtras pas. Adieu ! tu vas faire un beau rêve, Et t'enivrer d'un plaisir dangereux; Sur ton chemin l'étoile qui se lève Longtemps encore éblouira...
Page 248 - Si je vous le disais pourtant, que je vous aime, Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ? 1837"'.
Page 168 - Pradt en personne, qui avait daigné monter quatre étages , et qui venait me donner une leçon dans mon réduit plus que modeste. La leçon fut longue , elle fut sévère ; mais cependant elle commença par une exposition pleine de modération et même de douceur. Plusieurs fois je voulus placer quelques mots dans les courts intervalles de l'homélie ; mais d'un léger signe de la main M. de Pradt me forçait au silence ; et ce signe était encore si paternel , que je crus recevoir la bénédiction.
Page 239 - Ne défendons plus la religion sous le rapport de l'utilité dont elle est, soit à l'homme, soit à la société; c'est un vrai blasphème qui a été trop souvent reproduit. Ne demandons point pour elle l'appui des institutions politiques; ce serait avoir des doutes impies sur sa stabilité. N'exigeons point non plus qu'elle vienne au secours de ces institutions, parceque nous pourrions l'accuser de leur chute lorsque le moment de la caducité serait venu.
Page 156 - Un homme puissant replaçait sur ses bases l'ordre social et politique. Toutes les fois qu'après un long bouleversement l'ordre politique se répare et reprend sa marche régulière, l'ordre littéraire tend à se mettre en accord et à suivre de son mieux. La critique (quand critique il ya) , à l'abri d'un pouvoir tutélaire, accomplit son œuvre et sert la restauration commune. Sous Henri IV, après la Ligue , on eut Malherbe ; sous Louis XIV , après la Fronde, on eut Boileau. En 1 800, après...
Page 153 - M do ce mois est mort, à l'âge de quatre-vingttrois ans accomplis, un vieillard aimable, spirituel , qui recouvrait, sous les formes d'une politesse exquise et d'une parfaite urbanité mondaine, un caractère ferme , des opinions nettes et constantes , bien de la philosophie pratique ; un sage et un heureux qui avait conservé à travers les habitudes du critique, et avec un esprit volontiers piquant, un cœur bienveillant et chaud, une extrême délicatesse dans l'amitié. M. de Feletz me représentait...
Page 247 - Adieu ! je crois qu'en cette vie Je ne te reverrai jamais. Dieu passe, il t'appelle et m'oublie; En te perdant, je sens que je t'aimais. Pas de pleurs, pas de plainte vaine. Je sais respecter l'avenir. Vienne la voile qui t'emmène, En souriant je la verrai partir. Tu t'en vas pleine d'espérance, Avec orgueil tu reviendras; Mais ceux qui vont souffrir de ton absence, Tu ne les reconnaîtras pas. Adieu ! tu vas faire un beau rêve, Et t'enivrer d'un plaisir dangereux; Sur ton chemin l'étoile qui...
Page 170 - Ses connaissances théologiques et philosophiques le rendaient capable aussi d'aborder, à l'occasion, des sujets sérieux. Il touchait à tout ; ce qu'il n'approfondissait pas, il l'effleurait non sans malice. Sa politesse extrême, que ses nombreuses relations entouraient de mille liens, n'empêchait pas la raillerie, quand elle avait à sortir, de se glisser dans ses articles je ne sais comment, dans le tour, dans la réticence ; il faisait entendre ce qu'il ne disait pas.
Page 155 - J'oserai dire que le critique n'est que le secrétaire du public, mais un secrétaire qui n'attend pas qu'on lui dicte, et qui devine, qui démêle et rédige chaque matin la pensée de tout le monde.
Page 157 - Berlin, comptait parmi ses rédacteurs Geoffroy, Dussault, Feletz, Delalot, Saint-Victor, l'abbé de Boulogne. Vers le même temps, au Mercure et dans une alliance étroite avec le Journal des Débats, écrivaient la Harpe, l'abbé de Vauxcelles, Fiévée, Michaud, Gueneau de Mussy, Fontanes, Bonald, Chateaubriand. Dans les rangs opposés, on comptait Rœderer au Journal de Paris; M. Suard et un jeune talent viril, mademoiselle de Meulan (depuis madame Guizot), au Publiciste; Ginguené et ses amis...