Grammaire italienne, simplifiée et réduite à 20 leçons. Piranési

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Popular passages

Page 86 - II n'a manqué à TÉRENCE que d'être moins froid: quelle pureté, quelle exactitude, quelle politesse, quelle élégance, quels caractères! Il n'a manqué à MOLIÈRE que d'éviter le jargon et le barbarisme, et d'écrire purement...
Page 144 - Un autre ( Vertot) avait un siége fameux à décrire ; les mémoires qu'il attendait ayant tardé trop long-temps , il écrivit l'histoire du siége , moitié d'après le peu qu'il en savait , moitié d'après son imagination ; et par malheur les détails qu'il en donne sont pour le moins aussi intéressans que s'ils étaient vrais ; les mémoires arrivèrent enfin ; j'en suis fâché , dit-il , mais mon siège est fait.
Page 18 - L'homme doit passer la première partie de sa vie avec les morts , la seconde avec les vivans , et la dernière avec lui-même.
Page 111 - Bautru étant en Espagne alla visiter la fameuse bibliothèque de l'Escurial, où il trouva un bibliothécaire fort ignorant. Le roi d'Espagne l'interrogea sur ce qu'il avait remarqué :
Page 30 - Je dis vertueuses; car les méchants n'ont que des complices; les voluptueux ont des compagnons de débauche; les intéressés ont des associés, les politiques assemblent des factieux; le commun des hommes oisifs a des liaisons; les princes ont des courtisans; les hommes vertueux 20 ont seuls des amis.
Page 86 - La conscience est la voix de l'âme, les passions sont la voix du corps. Est-il étonnant que souvent ces deux langages se contredisent, ? et alors lequel faut-il écouter?
Page 80 - C'est peut-être celle-ci? lui en présentant une autre d'argent. — Non , ce n'est point encore celle qui m'appartient.
Page 100 - Henri-le-Grand à ce prince, dans l'espérance d'en recevoir une récompense , le roi lui demanda quelle étoit sa profession. Sire, lui dit-il, ma profession est de faire des anagrammes ; mais je suis fort pauvre. Il n'est pas étonnant que vous le soyez , reprit le roi , car vous faites-la un pauvre métier.
Page 23 - Philippe mou père qu'àAristole mon précepteur: si je dois à l'un la vie, je dois à l'autre la vertu.
Page 73 - Voltaire vint sur-lechamp remercier le prince, qui lui dit ; — « Soyez sage, et j'aurai soin de vous. » — « Je vous suis infiniment obligé, répondit le poète; mais je supplie Votre Altesse de ne plus se charger de mon logement et de ma nourriture.

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