| 1835 - 984 pages
...comme les reflets épars de mon existence, donnent une sorte d'unité indéfinissable a mon travail : mon berceau a de ma tombe | ma tombe a de mon berceau ; mes souffrances devien nent des plaisirs , mes plaisirs des douleurs, et l'on ne sait si ces Mémoires sont l'ouvrage... | |
| 1834 - 312 pages
...comme les reflets épars de mon existence , donnent une sorte d'unité indéfinissable à mon travail : mon berceau a de ma tombe , ma tombe a de mon berceau...deviennent des plaisirs, mes plaisirs des douleurs , et l'on ne sait si ces Mémoires sont l'ouvrage d'une tête brune ou chenue, Je ne dis point ceci pour... | |
| 1835 - 1010 pages
...de mon existence , donnent 'in e sorte d'unité indéfinissable à mua travail : mon berceau, a 4e ma tombe» ma tombe a de mon berceau; mes souffrances...deviennent des plaisirs, mes plaisirs des douleurs, et l'on ne sait si ces Mémoires sont l'ouvrage d'une tete brune ou chenue. Je ne dis point ceci pour... | |
| François René Chateaubriand - 1849 - 370 pages
...depuis son aurore jusqu'à son couchant, se croisant et se confondant, ont produit dans mes récits une sorte de confusion, ou, si l'on veut, une sorte...plaisirs des douleurs, et je ne sais plus, en achevant de lire ces Mémoires, s'ils sont d'une tête brune ou chenue. J'ignore si ce mélange, auquel je ne... | |
| 1866 - 204 pages
...« Les rayons de mon soleil, at-il dit, se croisant et se confondant, onl produit dans mes récits une sorte de confusion, ou, si l'on veut, une sorte...plaisirs des douleurs, et je ne sais plus, en achevant de lire ces mémoires, s'ils sont d'une tête brune ou chenue. » Cette œuvre, que l'auteur voulait... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1874 - 394 pages
...son aurore jusqu'à son couchant, se croi» sant et se confondant, ont produit dans mes récits » une sorte de confusion, ou, si l'on veut, une sorte » d'unité indéfinissable... J'ignore si ce mélange, » auquel je ne puis apporter remède, plaira ou dé» plaira; il est le fruit... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1912 - 360 pages
...comme les reflets épars de mon existence, donnent une sorte d'unité indéfinissable à mon travail : mon berceau a de ma tombe, ma tombe a de mon berceau...deviennent des plaisirs, mes plaisirs des douleurs, et l'on ne sait si ces Mémoires sont l'ouvrage d'une tête. brune ou chenue. Je ne dis point ceci pour... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1912 - 372 pages
...comme les reflets épars de mon existence, donnent une sorte d'unité indéfinissable à mon travail : mon berceau a de ma tombe, m'a tombe a de mon berceau;...deviennent des plaisirs, mes plaisirs des douleurs, et l'on ne sait si ces Mémoires sont l'ouvrage d'une tête brune ou chenue. Je ne dis point ceci pour... | |
| Jules Lemaître - 1912 - 362 pages
...comme des reflets épars de mon existence, donnent une sorte d'unité indéfinissable à mon travail : mon berceau a de ma tombe, ma tombe a de mon berceau ; mes souffrances deviennent du plaisir, mes plaisirs des douleurs, et l'on ne sait si ces Mémoires sont l'ouvrage d'une tête... | |
| François-René de Chateaubriand - 1921 - 462 pages
...comme les reflets cpars de mon existence, donnent une sorte d'unité indéfinissable à mon travail : mon berceau a de ma tombe, ma tombe a de mon berceau;...deviennent des plaisirs, mes. plaisirs des douleurs, et l'on ne sait si ces Mémoires sont l'ouvrage d'une tète brune ou chenue. Je ne dis point ceci pour... | |
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