| Gustave Flaubert - 1857 - 506 pages
...campagne remontait ensuite d'un mouvement monotone , jusqu'à toucher au loin la base indécise du ciel pâle. Ainsi vu d'en haut, le paysage tout entier...immobile comme une peinture ; les navires à l'ancre se lassaient dans un coin ; le fleuve arrondissait sa courbe au pied des collines vertes, et les îles,... | |
| Gustave Flaubert - 1880 - 488 pages
...campagne remontait ensuite d'un mouvement monotone, jusqu'à toucher au loin la base indécise du ciel pâle. Ainsi vu d'en haut, le paysage tout entier...arrondissait sa courbe au pied des collines vertes, et les fles, de forme oblongue, semblaient sur l'eau de grands poissons noirs arrêtés. Les cheminées des... | |
| Gustave Flaubert - 1911 - 486 pages
...campagne remontait ensuited'un mouvement monotone, jusqu'à toucher au loin la base indéeise du ciel pâle. Ainsi vu d'en haut, le paysage tout entier avait l'air immobile comme une peinture; le» aa vires à l'ancre se tassaient dans un coin; le fleuve arrondissait sa courbe au pied des collines... | |
| Gustave Flaubert - 1912 - 488 pages
...Ainsi vu d'en haut, le paysage tout en lier, avait l'air, immobile comme une peinture; les naviresià l'ancre se .tassaient dans un coin; le fleuve arrondissait...pied des collines- vertes, et les îles, de forme oblongne, semblaient sur l'eau de grandsrpoissonsnoirsarrèté». Les cheminées des usines poussaient... | |
| Antoine Albalat - 1913 - 342 pages
...toucher au loin la base indécise du ciel pâle. Ainsi vu d'en haut (et presque perpendiculairement) le paysage tout entier avait l'air immobile comme une peinture. Les navires du port, que l'on eût crus aplatis sur l'eau, se tassaient dans un coin, amarrés contre les maisons,... | |
| Antoine Albalat - 1921 - 338 pages
...toucher au loin la base indécise du ciel pâle. Ainsi vu d'en haut (et presque perpendiculairement) le paysage tout entier avait l'air immobile comme une peinture. Les navires du port, que l'on eût crus aplatis sur l'eau, se tassaient dans un coin, amarrés contre les maisons,... | |
| F. K. Stanzel - 1986 - 332 pages
...vu d'en haut, le paysage tout entier avait 1'air immobile comme une peinture; les navires a 1'ancre se tassaient dans un coin; le fleuve arrondissait sa courbe au pied des collines vertes, et les iles. de forme oblongue, semblaient sur 1'eau de grands poissons noirs arrete's. Les cheminees des... | |
| 1920 - 522 pages
...campagne remontait ensuite d'un mouvement monotone, jusqu'à toucher au loin la base indécise du ciel pâle. Ainsi vu d'en haut, le paysage tout entier...arrondissait sa courbe au pied des collines vertes, et les Iles, de forme oblongue, semblaient sur l'eau de grands poissons noirs arrêtés. Les cheminées des... | |
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