| Blaise Pascal - 1812 - 706 pages
...on arrive nécessairement à des mots primitifs qu'on ne peut plus définir, et k des principes si clairs , qu'on n'en trouve plus qui le soient davantage pour servir à k-nr prcnve. D'où il paroît que les hommes sont dans une impuissance naturelle et immuable de traiter... | |
| Pierre Laromiguìre - 1815 - 438 pages
...peut plus définir, et à des principes si clairs qu'on n'en trouve plus qui le soient davantage . D'où il paraît que les hommes sont dans une impuissance...science que ce soit dans un ordre absolument accompli ». L'ordre accompli consiste à expliquer les mots secondaires les uns par les autres , et tous par... | |
| Blaise Pascal - 1820 - 246 pages
...clairs , qu'on n'en trouve pli» qui le soient davantage pour servir à leur preuve. D'oA il parait que les hommes sont dans une impuissance naturelle et immuable de traiter quelqu e science que ce soit dans un ordre absolument acrempli ; mais il ne s'ensuit pas de là qu'on... | |
| Pierre Sébastien Laurentie - 1826 - 516 pages
...on arrive nécessairement à des mots primitifs qu'on ne peut plus définir, et à des principes si clairs, qu'on n'en trouve plus qui le soient davantage pour servir à leur preuve. D'où il paroît que les hommes' sont dans une impuissance naturelle et immuable de traiter quelque science... | |
| Pierre Laromiguière - 1826 - 310 pages
...plus qui le soient davantage. D'où il paraît que les hommes soat dans une impuissance naturel-lé et immuable de traiter quelque science que ce-' soit -dans un ordre absolument accompli. » . accompli consiste à expliquer les mots secondaires les uns par les autres et tous par les mots... | |
| François duc de La Rochefoucauld, Blaise Pascal, Jean de La Bruyère - 1834 - 776 pages
...on arrive nécessairement à des mots primitifs qu'on ne peut plus définir, et à des principes si clairs , qu'on n'en trouve plus qui le soient davantage pour servir à leur preuve. D'où il paroit que les hommes sont dans une impuissance naturelle et- immuable de traiter quelque science que... | |
| Voltaire - 1834 - 648 pages
...absolument définir per genus proprium et per differentiam proximam. C'est le nom qui est libre. V. « XXI. Il paraît que les hommes sont dans une « impuissance naturelle et immuable de traiter quel« que science que ce soit dans un ordre absolument « accompli ; mais il ne s'en suit pas de là... | |
| Blaise Pascal - 1839 - 702 pages
...on arrive nécessairement à des mots primitifs qu'on ne peut plus définir, et à des principes si clairs, qu'on n'en trouve plus qui le soient davantage pour servir à leur preuve. .D'où il paroît que les hommes sont dans une impuissance naturelle et immuable de traiter quelque science que... | |
| Pierre Laromiguière - 1844 - 532 pages
...on arrive nécessairement à des mots primitifs qu'on ne peut plus définir, et a des principes si clairs, qu'on n'en trouve plus qui le soient davantage...preuve. D'où il paraît que les hommes sont dans nue impuissance naturelle et immuable de traiter quelque science que ce soit dans un ordre absolument... | |
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