Annales de la Société d'émulation du département des Vosges, Volumes 36-37C. Huguenin, 1897 |
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agricole ancien années Anould août Aydoilles bailliage Bellefontaine bois Bois-de-Champ Bresse Brouvelieures Bruyères Bussang celtique champ Champdray chanoine chapelle Chapitre chaumes CHEVREUX citoyens CLAUDOT Commission commune Corcieux Cornimont cultivateur curé d'agriculture d'eau d'Epinal Dame Abbesse Dame Doyenne défrichements département des Vosges députés DERAZEY désigne Dompaire Epinal faing Fiménil forestière forêts forme GAZIN Georgel Gérardmer Gerbépal Granges habitants Haillant hectares hectares HUOT jours l'abbé l'arrondissement l'église ladite Lamarche LEBRUNT Lettres du Bx lieu Lorraine Lunéville maire maison Maix Mandray Mattaincourt médaille d'argent médecine meix membre Ménil ment Meuse Mirecourt monastère montagne Moulin Moussey Moyenmoutier MOYNE municipalité Nancy Neufchâteau noms de lieux officiers parcelle patois Plaine Plainfaing portion pré Président prisonniers prisons procès-verbal professeur Rambervillers région Religieuses reliquaire relique Remiremont ruisseau Rupt Saint Pierre Fourier Saint-Dié Sapois Secrétaire sera siècle Société d'Emulation terrain Tholy tion Total du canton TREMSAL trouve Val-d'Ajol Ventron village Voge Vosges vosgienne
Popular passages
Page lxxix - Articles 17, 19 et 20 de la loi du 16 avril 1897 concernant la répression de la fraude dans le commerce du beurre et la fabrication de la margarine.
Page 233 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la Nation, à la loi et au Roi; et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi...
Page 188 - Nous avons besoin du concours de nos fidèles sujets pour Nous aider à surmonter toutes les difficultés où Nous Nous trouvons, relativement à l'état de nos finances, et pour établir, suivant nos vœux, un ordre constant et invariable dans toutes les parties du gouvernement qui intéressent le bonheur de nos sujets et la prospérité de notre royaume.
Page 240 - Un étranger devient citoyen français, lorsqu'après avoir atteint l'âge de vingt et un ans accomplis, et avoir déclaré l'intention de se fixer en France, il ya résidé pendant dix années consécutives.
Page xxiii - Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts I J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres Le bois retentissant sur le pavé des cours.
Page 237 - Considérant qu'il est urgent de montrer que les ressources de la République sont aussi inépuisables que la rage des tyrans est impuissante, et voulant employer les dépouilles du fanatisme pour éteindre une guerre impie, dont il est luimême la principale cause; pénétrés de cette grande vérité proclamée même par un des Pères les plus illustres de l'Église, qui disait que dans le temps qu'on se servait de calices de bois, les prêtres étaient d'or, et que lorsque les calices étaient...
Page 254 - Des moissons plus variées et plus abondantes, des aliments meilleure pour le goût, pour la santé et pour la force, des meubles dont la commodité, et non pas le luxe, fera l'élégance, seront pour tous les citoyens de la République, pour les hameaux comme pour les cités, les résultats certains et prochains de cette éducation si nouvelle donnée à tout un peuple.
Page 253 - ... d'instituteur dans nos écoles ? Sans cesse ils auront dans leurs mains et devant leur esprit les éléments des sciences les plus utiles, tracés par les professeurs les plus renommés; ils seront auprès de l'enfance les intermédiaires et comme les envoyés de la République et du génie : par leur organe pénétreront avec plus de facilité dans des âmes neuves les vérités d'où doivent naître les vertus et les prospérités des générations futures; si aux lumières qu'on exigera d'eux,...
Page 239 - Nul ne. peut être responsable de ce qu'il a écrit ou publié que dans les cas prévus par la loi. 354. — Nul ne peut être empêché d'exercer, en se conformant aux lois, le culte qu'il a choisi. Nul ne peut être forcé de contribuer aux dépenses d'un culte. La République n'en salarie aucun.
Page 253 - ... mais on apprendra les seules sciences réelles, celles qui répandent les lumières pour mieux pratiquer les arts utiles. Par les leçons qu'on y recevra, on sera disposé, non à déserter la charrue et la forge, mais à les manier et à les diriger avec plus d'intelligence ; la philosophie la plus profonde y sera si claire, que sa voix ne paraîtra plus que la voix de la nature...