La mimiqueO. Doin, 1902 - 366 pages |
Other editions - View all
Common terms and phrases
abaissée aponévrose attitude au-devant avant-bras bouche bras buccale cavité buccale cavité orbitaire commissures labiales contraction du muscle côté opposé courbe à convexité Darwin déplacements détermine direction dirigés en avant doigts étendus douleur Duchenne écartés l'un élevées émotions épaules étendue exécuté expression exprime externe face dorsale face palmaire façon fibres flexion frontal geste globe oculaire Herbert SPENCER inclinée en arrière inclinée en avant indique interne jambes l'abaissement l'aile du nez l'attention l'attitude l'avant-bras l'élévation l'expression l'index l'individu l'orbiculaire l'un de l'autre latérales lèvre inférieure lèvre supérieure mâchoire inférieure membres inférieurs membres supérieurs ment menton métacarpiens mimique mouvements muscle grand zygomatique narines niveau obliques en bas orteils palpébral paume paupière supérieure pavillon auriculaire peau peaussier phalanges physiognomonie physionomie poitrine pouce pronation propos quelquefois rapprochés région résulte rides rieure rire Santorini semble sentiments seul signaler signification sillon naso-labial sion sourcil sujet supination tête est inclinée tion tournée en haut transversal tronc venons zygomatique
Popular passages
Page 47 - Dans l'espèce humaine, dit-il (trad. fr., p. 12), certaines expressions, comme les cheveux qui se hérissent sous l'influence d'une terreur extrême, ou les dents qui se découvrent dans l'emportement de la rage, sont presque inexplicables si l'on n'admet pas que l'homme a vécu autrefois dans une condition très inférieure et voisine de la bestialité.
Page 124 - Nous avons tous, dans notre enfance, contracté maintes fois nos muscles orbiculaires, sourciliers et pyramidaux, afin de protéger nos yeux, tout en poussant des cris; nos ancêtres ont agi de même avant nous, pendant de longues générations ; et quoique, en avançant en âge, il nous devienne facile de retenir nos cris lorsque nous éprouvons quelque douleur, nous ne pouvons toujours vaincre l'effet d'une longue habitude et empêcher une légère contraction des muscles indiqués plus haut ;...
Page 67 - ... en extension et en flexion dans les attitudes mêmes des appendices piriformes des neurones eux-mêmes. Et cela, d'autant mieux que leur allongement en extension établit les contacts de vie par le passage de l'onde sensorielle ou motrice, tandis que leur rétraction ou flexion sur eux-mêmes abolit les contacts, c'est-à-dire le passage de l'onde de vie active; ainsi les attitudes mêmes des appendices piriformes des neurones créeraient deux territoires fondamentaux : l'un de tonicité, c'est-à-dire...
Page 50 - Lorsque l'attention étant entièrement fixée sur un oiseau qui vole , sur une pierre qui fend l'air , sur de l'eau qui coule , le corps du spectateur se dirige d'une manière plus ou moins prononcée vers la ligne du mouvement ; 2° Lorsqu'un joueur de boule ou de billard suivant de l'œil le mobile auquel il a imprimé le mouvement , porte son corps dans la direction qu'il désire voir suivre à ce mobile , comme s'il lui était possible encore de le diriger vers le but qu'il a voulu lui faire...
Page 38 - ... modifient l'être vivant. Or, comment des mouvements communiqués à mes muscles par une volonté étrangère pourraient-ils raconter mes sentiments et mes volontés ? Ils ne feraient qu'exprimer une idée de l'expérimentateur, me façonnant comme un statuaire façonne l'argile; produire une expression, déterminer avec plus de précision les muscles dont la contraction modifie alors la forme du visage , est-ce connaître le principe vrai et la raison première de ces mouvements ? N'est-ce point...
Page 18 - La physionomie chez l'homme et chez les animaux dans ses rapports avec l'expression des émotions et des sentiments. Paris, 1887, pp.
Page 53 - Principe de l'antithèse. — Certains états d'esprit entraînent certains actes habituels, qui sont utiles, comme l'établit notre premier principe ; puis, quand se produit un état d'esprit directement inverse, on est fortement et involontairement tenté d'accomplir des mouvements absolument opposés, quelque inutiles qu'ils soient d'ailleurs; dans certains cas ces mouvements sont très-expressifs.
Page 58 - Darwin, la force nerveuse est engendrée en excès et transmise dans certaines directions déterminées dépendant des connexions des cellules nerveuses, et en partie de l'habitude ; dans d'autres cas, l'afflux de la force nerveuse paraît, au contraire, complètement interrompu. Il en résulte des effets que nous trouvons expressifs.
Page 24 - Dessein d'Amsterdam, sur le moyen de représenter d'une manière sûre les diverses passions qui se manifestent sur le visage ; sur l'étonnante conformité qui existe entre les quadrupèdes, les oiseaux, les poissons et l'homme ; et enfin sur le Beau physique, publiés par A.-G.
Page 22 - ... les deux autres impressions qui viennent d'un seul objet par les doubles organes des autres sens, se puissent assembler en une avant qu'elles parviennent à l'âme...