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" ... sans personne pour me soigner que la bonne vieille mère de Baba , qui, deux fois par jour, m'apportait un peu d'eau de riz qu'elle me forçait de boire , car je ne pouvais rien manger; je devins bientôt un véritable squelette... "
Revue encyclopédique - Page 321
1830
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Journal d'un voyage à Temboctou et à Jenné, dans l'Afrique ..., Volume 2

René Caillié - 1830 - 458 pages
...sans médicamens, sans personne pour me soigner que la bonne vieille mère de Baba , qui, deux fois par jour, m'apportait un peu d'eau de riz qu'elle...ceux *qui étaient le moins disposés à me plaindre. J'avais perdu toute mon énergie; les souffrances absorbaient mes idées ; il ne me restait qu'une...
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Journal d'un voyage à Temboctou et à Jenné, dans l'Afrique ..., Volume 2

René Caillié - 1830 - 462 pages
...sans médicamens, sans personne pour me soigner que la bonne vieille mère de Baba , qui, deux fois par jour, m'apportait un peu d'eau de riz qu'elle...ceux qui étaient le moins disposés à me plaindre. J'avais perdu toute mon énergie; les souffrances absorbaient mes idées ; il ne me restait qu'une...
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Revue encyclopédique: liberté, égalité, association, Volume 46

1830 - 902 pages
...mon bagage, sans médicamens, sans personne pour me soigner que lubonne vieille mère qui, deux fois, par jour, m'apportait un peu d'eau de riz qu'elle...squelette; enfin, j'étais dans un état si cruel, que je fini» par inspirer de la pitié même à ceux qui étaient le moins disposés à me plaindre. » Dans...
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La vie de René Caillié: vainqueur de Tombouctou ...

André Lamandé, Jacques Nanteuil - 1928 - 306 pages
...bagage, sans médicaments, sans personne pour me soigner que la vieille mère de Baba qui, deux fois par jour, m'apportait un peu d'eau de riz qu'elle...je devins bientôt un véritable squelette. Enfin, j ''étais dans un état si cruel, que je finis par inspirer de la pitié, même à ceux qui étaient...
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La Géographie, Volume 49

1928 - 616 pages
...personne pour me soigner que la bonne vieille mère de Baba qui, deux fois par jour, m'apportait un peu de riz qu'elle me forçait de boire, car je ne pouvais rien manger ; je devins bientôt un véritable squelette1 ». Même durant ces semaines tragiques où l'avenir de son expédition était mis en jeu...
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