| Ovid - 1808 - 510 pages
...Son époux s'enfonça dans un désert sauvage. Là, seul, touchant sa lyre, et charmant son veuvage : Tendre épouse , c'est toi qu'appelait son amour , Toi qu'il pleurait la nuit, toi qu'il pleurait le jour. Un de mes amis , homme de goût , et excellent professeur d'humanités, trouvait... | |
| Ovid - 1808 - 518 pages
...Son époux s'enfonça dans un désert sauvage. Là, seul, touchant sa lyre, et charmant son veuvage : Tendre épouse , c'est toi qu'appelait son amour , Toi qu'il pleurait la nuit , toi qu'il pleurait le jour. Un de mes amis , homme de goût, et excellent professeur d'humanités, trouvait beaucoup... | |
| 1809 - 596 pages
...C'est ainsi que Virgile peint la douleur d'Orphée après la mort d'Eurydice , en s'écriant : (4) Tendre épouse , c'est toi qu'appelait son amour, Toi qu'il pleurait la nuit , toi qu'il pleurait le jour. (a) Semptfr , qitasî ttimenfes super mo fîucîus , iimid cum 3 et pondus ejnsjerre... | |
| Virgil - 1811 - 360 pages
...Son époux s'enfonça dans un désert sauvage: Là, seul, touchant sa lyre, et charmant son veuvage, Tendre épouse ! c'est toi qu'appelait son amour , Toi qu'il pleurait la nuit, toi qu'il pleurait le jour. C'est peu : malgré l'horreur de ses profondes voûtes , II franchit de l'enfer les... | |
| Jacques Delille - 1811 - 364 pages
...Son époux s'enfonça dans un désert sauvage : Là, seul, touchant sa lyre, et charmant son veuvage, Tendre épouse ! c'est toi qu'appelait son amour , Toi qu'il pleurait la nuit, toi qu'il pleurait le jour. C'est peu: malgré l'horreur de ses profondes voûtes, II franchit de l'enfer les... | |
| Nicolas Jean Hugou de Bassville - 1816 - 390 pages
...s'enfonea dans un désert sauvage ; Là, seul , touchant sa Ivre et charmant son veuvage, Tendre e'pouse , c'est toi qu'appelait son amour , Toi qu'il pleurait la nuit , toi qu'il pleurait le jour. C'est peu j malgre' l'horreur de ces profondes voûtes , II franchit de l'enfer les... | |
| Marco Girolamo Vida - 1819 - 218 pages
...Cet époux s'enfonça dans un désert sauvage : Là, seul, touchant sa lyre et charmant son veuvage, Tendre épouse! c'est toi qu'appelait son amour ; Toi qu'il pleurait la nuit, toi eju 'il pleurait le jour. Qui ne se sen^ému de la lutte inégale Où sa témérité precipite Euryale... | |
| Jean-François de La Harpe - 1821 - 500 pages
...différence de ces vers à ceux de M. Delille ! Là, seul, touchant sa lyre et charmant son veuvage, Tendre épouse , c'est toi qu'appelait son amour , Toi qu'il pleurait la nuit, toi qu'il pleurait le jour. Il n'ya rien d'affecté, rien d'entortillé, point d'inversion, point de symétrie.... | |
| Jean-François de La Harpe - 1821 - 500 pages
...différence de ces vers à ceux de M. Delille ! Là, seul, touchant sa lyre et charmant son veuvage, Tendre épouse, c'est toi qu'appelait son amour, Toi qu'il pleurait la nuit, toi qu'il pleurait le jour. Il n'ya rien d'affecté, rien d'entortillé, point d'inversion, point de symétrie.... | |
| Jan Fredrik Helmers - 1825 - 284 pages
...et d'Eurydice : Te, dulcis conjux, te solo in littore secum, Te, veniente die, te decedente canehat. Tendre épouse ! c'est toi qu'appelait son amour , Toi ; qu'il pleurait la nuit , toi qu'il pleurait le jour. Page l5o, vers 7. L'Orénoque orgueilleux Fait monter jusqu'à lui leur éloge pompeux.... | |
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