Il appela les gardes qui étaient à la porte de la chambre, qui, au lieu seulement de le désarmer et de le prendre en vie, le tirèrent et blessèrent d'un coup dont il mourut le lendemain avant que le premier président eût pu lui faire donner la... Oeuvres - Page ivby Baruch Spinoza (dit Benedictus de) - 1861Full view - About this book
| Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1828 - 466 pages
...vais te suivre ; laisse-moi seu« lement, pour quelque nécessité, entrer dans mon « cabinet. » Brissac sottement le laissa faire, et fut bien étonné de l'en voir sortir avec deux pistolets 3 . (0 H étoit dit, par le traité, qu'on leur livrerait Quillebœuf, et ils promettoient cent m1lle... | |
| 1828 - 454 pages
...m'en vais te suivre ; laisse-moi seu« lement, pour quelque nécessité, entrer dans mon a cabinet. » Brissac sottement le laissa faire, et fut bien étonné de l'en voir sortir avec deux pistolets (3 . (i) II étoit dit, par le traité, qu'on leur livreroit Quillebœuf, et ils promettaient cent... | |
| Claude Bernard Petitot - 1828 - 484 pages
...vais te suivre ; laisse-moi seu« lement, pour quelque nécessité, entrer dans mon « cabinet. » Brissac sottement le laissa faire, et fut bien étonné de l'en voir sortir avec deux pistolets '?':. (i) IJ étoit dit, par le traité, qu'on leur livreroit Qnilleboeuf, et ils promettoient cent... | |
| 1828 - 458 pages
...laisse-moi seu« lement, pour quelque nécessité, entrer dans mon « cabinet. » Brissac sottement le l^ssa faire, et fut bien étonné de l'en voir sortir avec deux pistolets (3), (1) II étoit dit, par le traité, qu'on leur livreroit Quillebneuf, et ils promettaient cent... | |
| Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1839 - 760 pages
...et fut bien étonne de l'en voir sortir avec deux pistolets (3). Il appela les gardes qui étoient à la porte de la chambre , qui , au lieu seulement de le désarmer et de le prendru en vie , le tirèrent et blessèrent d'un coup dont il mourut le lendemain, avant que le premier... | |
| Joseph Fr. Michaud, Poujoulat (M., Jean-Joseph-François) - 1840 - 756 pages
...m'en vais te suivre ; laisse-moi seulement, pour quelque nécessité , entrer dans mon cabinet. « Brissac sottement le laissa faire , et fut bien étonné de l'en voir sortir avec deux pistolets (3). Il appela les gardes qui étoient à la porte de la chambre , qui , au lieu seulement de le désarmer... | |
| Benedictus de Spinoza - 1842 - 600 pages
...m'en » vais te suivre , laisse-moi seulement pour quelque nécessité entrer dans mon - cabinet. » Brissac sottement le laissa faire, et fut bien étonné...gardes qui étaient à la porte de la chambre, qui, imlieu seulement de le désarmer et de le prendre en vie, le tirèrent et blessèrent d'un coup dont... | |
| Benedict Spinoza - 1861 - 562 pages
...Je m'en vais te suivre, « laisse-moi seulement pour quelque nécessité entrer dans mon cabinet. » Brissac sottement le laissa faire, et fut bien étonné de l'en voir sortir avec deux pistolets. H appela les gardes qui étaient à la porte de la chambre, qui, au lieu seulement de le désarmer... | |
| Benedictus de Spinoza - 1861 - 694 pages
...m'en vais te suivre. • laisse-moi seulement pour quelque nécessité entrer daus mon cabinet. • Brissac sottement le laissa faire, et fut bien étonné de L'en voir sortir avec deux pistolets. 11 appela les gardes qui étaient à la porte de la chambre, qui, au tieu seulement de lo désarmer... | |
| Benedictus de Spinoza - 1861 - 556 pages
...Je m'en vais te suivre, o laisse-moi seulement pour quelque nécessité entrer dans mon cabiuet. • Brissac sottement le laissa faire, et fut bien étonné de l'en voir sortir avec deux pistolets. 11 appela les gardes qui étaient à la porte de la chambre, qui, au lieu seulement de le désarmer... | |
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