Bulletin historique et littéraire, Volumes 31-32Agence centrale de la Société, 1882 |
Contents
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Common terms and phrases
Anduze archives assemblée avoit Bèze Bulletin Calvin Cassiodore catholique ceste Chamier choses cœur Coligny colloque Consistoire Daniel Chamier demande dernier devant dict Dieu dimanche documents donner duc de Guise dudict églises Églises réformées enfants envoyé estant estoit estre faict famille Farel femme fidèles fille fils française frère Gébelin Genève Guise historique Hollandais homme huguenots j'ai j'ay Jacques Jean Jean Brun jour juge juin JULES BONNET l'amiral l'Édit de Nantes l'église de Cuq l'Église réformée L'HISTOIRE DU PROTESTANTISME laisser Laurent de Normandie lettre lieu livres Louis maison Majesté mariage mars martyr ment mesme ministre mois Monsieur mort Nîmes passé pasteur Paul Rabaut pauvres père personnes Pierre Pont de Montvert prêcher premier présent prières prince Protestantisme protestants quoy réfugiés registres religion Révocation rien Saint-Barthélemy sainte Seigneur sera sermons seul siècle sieur suivant sujet synode temple Théodore de Bèze tion trouve Vassy zèle
Popular passages
Page 391 - Je les vois encore à cette apparition subite tomber toutes à la fois à ses pieds, les inonder de pleurs, essayer des paroles , ne trouver que des sanglots ; puis , enhardies par nos consolations , nous raconter toutes ensemble leurs communes douleurs. Hélas , tout leur crime était d'avoir été élevées dans la même religion que Henri IV.
Page 42 - Il est à noter pour jamais, dit un historien du seizième siècle, que tant qu'on a fait mourir les réformés sous la forme de la justice, quelque inique et cruelle qu'elle fût, ils ont tendu les gorges et n'ont point eu de mains. Mais quand l'autorité publique, le magistrat, lassé des feux, a jeté le couteau aux mains des peuples, et par les tumultes et grands massacres de France...
Page 480 - C'est pousser un peu trop loin le mépris habituel des Allemands pour les travaux des observateurs français, et l'on ne sait ce que l'on doit le plus admirer, de la...
Page 225 - L'empire de la loi finit où commence l'empire indéfini de la conscience; la loi, ni le prince, ne peuvent rien contre cette liberté. Tels sont mes principes et ceux de...
Page 401 - Touchés de tant de merveilles, épanchons nos cœurs sur la piété de Louis; poussons jusqu'au ciel nos acclamations et disons à ce nouveau Constantin, à ce nouveau Théodose, à ce nouveau Marcien, à ce nouveau Charlemagne, ce que les six cent trente pères dirent autrefois dans le concile de Chalcédoine : Vous avez affermi la foi, vous avez exterminé les hérétiques : c'est le digne ouvrage de votre règne, c'en est le propre caractère.
Page 180 - Christ sont péris. 19 Si nous n'avons d'espérance en Christ que pour cette vie seulement, nous sommes les plus misérables de tous les hommes.
Page 401 - Vous avez affermi la foi ; vous avez exterminé les hérétiques : c'est le digne ouvrage de votre règne ; c'en est le propre caractère. Par vous l'hérésie n'est plus : Dieu seul a pu faire cette merveille.
Page 129 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé: que toute personne soit soumise aux puissances supérieures; car il n'ya point de puissance qui ne vienne de dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre; celui donc qui s'oppose aux puissances résiste à l'ordre de dieu.
Page 307 - Ne craignez rien, lui dit-il, à mon égard, il m'est aisé de me justifier : assez de gens, et des principaux du pays, savent bien ce qui m'a engagé à faire ce voyage. Mais, quoi qu'il en soit, aussitôt que la populace fera le moindre bruit à votre porte, je sortirai et irai droit à eux, quand ils devraient me faire le même traitement qu'ils ont fait aux pauvres Messieurs de Witt. Je suis bon républicain, et n'ai jamais eu en vue que la gloire et l'avantage de l'Etat.
Page 157 - Jésus-Christ a dit qu'il se trouverait toujours entre deux ou trois personnes assemblées en son nom, mais quand on est trois ou quatre mille, c'est le diable qui s'y trouve. J'ai tout lieu d'espérer que les personnes qui approchent Sa Majesté fortifieront dans son cœur les sentiments d'humanité et de bonté qui lui sont si naturels.