Ces épaules étaient partagées par une raie, le long de laquelle coula mon regard, plus hardi que n'eût été ma main. Je me haussai, tout palpitant, pour voir le corsage, et fus complètement fasciné par une gorge chastement couverte d'une gaze,... Revue de Paris - Page 217edited by - 1835Full view - About this book
| 1856 - 752 pages
...coup frappés par de blanches épaules rebondies sur lesquelles j'aurais voulu pouvoir me rouler... Ces épaules étaient partagées par une raie le long...pour voir le corsage, et fus complètement fasciné Tout me fit perdre l'esprit. Après m'être assuré que personne ne me voyait, je me plongeai dans... | |
| 1856 - 970 pages
...coup frappés par de blanches épaules rebondies sur lesquelles j'aurais voulu pouvoir me rouler... Ces épaules étaient partagées par une raie le long...pour voir le corsage, et fus complètement fasciné Tout me fit perdre l'esprit. Après m'être assuré que personne ne me voyait, je me plongeai dans... | |
| Honoré de Balzac - 1844 - 582 pages
...Ces épaules étaient partagées par une raie, le long de laquelle coula mon regard , plus hardi que ma main. Je me haussai tout palpitant pour voir le...le brillant des cheveux lissés au-dessus d'un cou velouté comme celui d'une petite fille, les lignes !>],m : ches que le peigne y avait dessinées et... | |
| baron Sirtema de Grovestins - 1859 - 480 pages
...frappés par de blanches épau» les rebondies, sur lesquelles j'aurais voulu pouvoir me » rouler... Ces épaules étaient partagées par une raie le »...voir le » corsage, et fus complètement fasciné... Tout me fit per» dre l'esprit. Après m'être assuré que personne ne me » voyait, je me plongeai... | |
| Honoré de Balzac - 1869 - 528 pages
...Ces épaules étaient partagées par une raie , le long de laquelle coula mon regard, plus hardi que ma main. Je me haussai tout palpitant pour voir le...amorces qui réveillèrent en moi des jouissances infmies : le brillant des cheveux lissés an-dessas d'un cou velouté comme celui d'une petite fille,... | |
| Honoré de Balzac - 1869 - 806 pages
...Ces épaules étaient partagées par une raie, le long de laquelle coula mon regard, plus hardi que ma main. Je me haussai tout palpitant pour voir le corsage et fus complétement fasciné par une gorge chastement couverte d'une gaze, mais dont les globes azurés et... | |
| Honoré de Balzac - 1869 - 822 pages
...Ces épaules étaient partagées par une raie, le long de laquelle coula mon regard, plus hardi que ma main. Je me haussai tout palpitant pour voir le corsage et fus complétement fasciné par une gorge chastement couverte d'une gaze, mais dont les globes azurés et... | |
| Honoré de Balzac - 1870 - 528 pages
...Ces épaules étaient partagées par une raie, le long de laquelle coula mon regard, plus hardi que ma main. Je me haussai tout palpitant pour voir le...le brillant des cheveux lissés au-des-sus d'un cou velouté comme celui d'une petite fille, les lignes blan-ches que le peigne y avait dessinées et où... | |
| Honoré de Balzac - 1875 - 806 pages
...regard, plus hardi que ma main, Je me haussai tout palpitant pour voir le corsage et fus complétement fasciné par une gorge chastement couverte d'une gaze,...Les plus légers détails de cette tête furent des amorces-qui réveillèrent en moi des jouissances infinies : le brillant des cheveux lissés au-dessus... | |
| Honoré de Balzac - 1876 - 808 pages
...Ces épaules étaient partagées par une raie, le long de laquelle coula mon regard, plus hardi que ma main. Je me haussai tout palpitant pour voir le corsage et fus complétement fasciné par une gorge chastement couverte-d'une gaze, mais dont les globes azurés et... | |
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