...tant d'élémens morbides , à vingt ans passés , j'étais encore pelit , maigre et pâle. Mon âme pleine de vouloirs se débattait avec un corps débile...j'avais tant lu , tant médité , que je connaissais roétaphysiquement la vie dans ses hauteurs , au moment où j'allais apercevoir les difficultés tortueuses...

...par tant d'éléments morbides, à \ingtanspasses, j'étais encore petit, maigre et pâle. Mon âme pleine de vouloirs se débattait avec un corps débile...j'avais tant lu , tant médité, que je connaissais métaphysiqucment la vie dans ses hauteurs au moment où j'allais apercevoir les difficultés tortueuses...

...tant d'éléments morbides, à vingt ans passés, j'étais encore petit, maigre et pâle. Mon âme, pleine de vouloirs, se débattait avec un corps débile...les chemins sablonneux de ses plaines. Des hasards inouïs m'avaient laissé dans cette délicieuse période où surgissent les premiers troubles de l'âme,...

...tant d'éléments morbides, à vingt ans passés, j'étais encore petit, maigre et pâle. Mon âme, pleine de vouloirs, se débattait avec un corps débile...les chemins sablonneux de ses plaines. Des hasards inouïs m'avaient laissé dans cette délicieuse période où surgissent les premiers troubles de l'âme,...

...tant d'éléments morbides , à vingt ans passés, j'étais encore petit, maigre et pâle. Mon âme pleine de vouloirs se débattait avec un corps débile...selon le mot d'un vieux médecin de Tours, subissait h dernière fusion d'un tempéramment de fer. Enfant par le corps et vieux par la pensée, j'avais...

...tant d'éléments morbides, à vingt ans passés, j'étais encore petit, maigre et pâle. Mon âme pleine de vouloirs se débattait avec un corps débile...médecin de Tours, subissait la dernière fusion d'un tempéramment de fer. Enfant par le corps et vieux par la pensée, j'avais tant lu, tant médité,...

...tant d'éléments morbides, à vingt ans passés, j'étais encore petit, maigre et pâle. Mon âme, pleine de vouloirs, se débattait avec un corps débile...les chemins sablonneux de ses plaines. Des hasards inouïs m'avaient laissé dans cette délicieuse période où surgissent les premiers troubles de l'âme,...

...seule ; le mensonge avait disparu. Enfant par l'âge, vieillie par la pensée, je connaissais déjà métaphysiquement la vie dans ses hauteurs au moment...défilés, et les chemins sablonneux de ses plaines arides. J'avais compris que ces désirs, dont l'âme est la proie et que rien de créé ne peut satisfaire,...

...tant d'éléments morbides, à vingt ans passés, j'étais encore petit, maigre et pâle. Mon âme pleine de vouloirs se débattait avec un corps débile...par le corps et vieux par la pensée, j'avais tant ta, tant médité, que je connaissais métaphysiquement la vie dans ses hauteurs au moment où j'allais...

...tant d'éléments morbides, à vingt ans passés, j'étais encore petit, maigre et pâle. Mon âme pleine de vouloirs se débattait avec un corps débile...les chemins sablonneux de ses plaines. Des hasards inouïs m'avaient laissé dans cette délicieuse période où surgissent les premiers troubles de l'âme,...