| 1824 - 458 pages
..., proposa de rendre Broussel mort ou vif. « Le premier , interrom« pit le coadjuteur , ne seroit ni de la piété ni de la « prudence de la Reine ; le second pourroit faire cesser « le tumulte. — Je vous entends , monsieur le coad« juteur, s'écria-t-elle... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 456 pages
...parti , proposa de rendre Broussel mort ou vif. « Le premier, interrom« pit le coadjuteur , ne seroit ni de la piété ni de la « prudence de la Reine ; le second pourroit faire cesser « le tumulte. — Je vous entends, monsieur le coad« juteur, s'écria-t-elle... | |
| 1825 - 464 pages
...(juauc-vingt-dcux ans. « sel mort ou vif. » Je pris la parole, et je lui dis : « Le « premier ne seroit ni de la piété ni de la prudence « de la Reine : le second pourroit faire cesser le tu« multe. » La Reine rougit à ce mot, et s'écria : « Je « vous entends... | |
| Jean François Paul de Gondi (card. de Retz.) - 1825 - 458 pages
...cjuatre-vingt-dcux ans. « sel mort ou vif. » Je pris la parole, et je lui dis : « Le « premier ne seroit ni de la piété ni de la prudence « de la Reine : le second pourroit faire cesser le tu« multe. » La Reine rougit à ce mot, et s'écria : « Je « vous entends... | |
| Jean Vatout - 1830 - 346 pages
...« ce vieux coquin de Broussel mort ou vif ». « Je pris la parole et je lui dis: «Le premier « ne serait ni de la piété ni de la prudence « de la reine ; le second pourrait faire cesser le « tumulte.» La reine rougit à ce mot, et s'écria: « Je vous entends,... | |
| 1849 - 776 pages
...plus que de vos services... L'abbé, sans s'émouvoir, demanda l'élargissement de Broussel. C'était poser nettement la question. — Qu'en pensez-vous,...Broussel! s'écria-t-elle avec force; j'aimerais mieux (étrangler de mes mains, avec ceux qui... Elle s'arrêta court... Mais son geste compléta sa pensée.... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1837 - 642 pages
...coquin de Broussel » mort ou vif. » Je pris la parole et je lui dis : » Le premier ne seroit pas de la piété ni de la » prudence de la reine ; le second pourroit faire » cesser le tumulte. » La reine rougit à ce mot, et elle s'escria : « Je vous entends,... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1840 - 648 pages
...Broussel, mort ou vif. Je pris la parole, ra(f conte le coadjuteur, et je lui dis : Le premier « ne seroit ni de la piété ni de la prudence de la « reine , le second pourroit faire cesser le tu> « multe. — La reine rougit à ce mot et s'écria : « Je vous entends,... | |
| Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1840 - 648 pages
...mort ou vif. Je pris la parole , ra« conte le coadjuteur, et je lui dis : Le premier « ne seroit ni de la piété ni de la prudence de la « reine , le second pourroit faire cesser le tu« multe. — La reine rougit à ce mot et s'écria : t< Je vous entends,... | |
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