La conquête du bonheurF. Alcan, 1921 - 279 pages |
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admirable Aiguille du Goûter Aiguille du Midi alpages Alpes âme arolle artistes beau beauté calme cause cerveau chagrin Chamonix choses cœur conquête du bonheur conscience courage découvert découvre discerner donne écrivains éducation égoïstes émotions énergie enfants Epictète esprits femme femmes d'extérieur fleurs fond force forêts Galaxie voie lactée grandeur habitudes heureux humaine idées instincts intel intellectuelle intelligence jamais jeune homme jeunes filles jeunes gens joie jour l'âme l'amour l'argent l'éducation l'énergie l'esprit l'habitude l'homme l'orgueil l'Univers laisse Léonard de Vinci liste des couleurs lois lutte maladie Malebranche malheur ménagère ment misère mondaine monde montagne morale mort Napoléon Ier nature neige neurasthéniques œuvre paresse passion pauvres pauvreté PAYOT paysage pensée plaisir plaisirs poètes pouvoir prodigieuse profonde puissance puissants qu'une quotidienne raison réalités riche rien sage sagesse saine sait santé sens sensations sensibilité sentiments sérénité seule sociale soleil souffrances Spinoza spirituelle stoïcisme terreur noire tion valeur vanité vérité vivre volonté
Popular passages
Page 9 - est une chose qui nous importe si fort, qui nous touche si profondément, qu'il faut avoir perdu tout sentiment pour être dans l'indifférence de savoir ce qui en est. Toutes nos actions et nos pensées doivent prendre des routes si différentes, selon qu'il y aura des biens
Page 235 - Pascal, étaient véritablement nouveaux en toutes choses, et formaient l'enfance des hommes proprement; et comme nous avons joint à leurs connaissances l'expérience des siècles qui les ont suivis, c'est en nous que l'on peut trouver cette antiquité que nous révérons dans les autres
Page 206 - qui restait douce comme sa figure angélique. Tout cela était beau de force ou de grâce : le paysage, l'homme, l'enfant, les taureaux sous le joug et malgré cette lutte puissante où la terre était vaincue, il y avait un sentiment de douceur et de calme profond qui planait sur toute chose
Page 107 - sans feu (la neige couvrait tout), ne sachant pas trop si le pain viendrait le soir, — j'eus en moi, sans nul mélange d'espérance religieuse, un pur sentiment stoïcien, — je frappai de ma main, crevée par le froid, sur ma table de chêne et sentis une joie virile de jeunesse et d'avenir 1
Page 132 - et votre corps sont d'eux-mêmes indifférents à l'état de batelier ou à celui de duc ». « 11 n'est pas nécessaire parce que vous êtes duc que je vous estime, mais il est nécessaire que je vous salue... si vous
Page 51 - J'ai cru trouver bien des compagnons dans l'étude de l'homme, et que c'est la vraie étude qui lui est propre. J'ai été trompé. Il y en a encore moins qui ['étudient que la géométrie
Page 252 - tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre.
Page 147 - La seule chose qui nous console de nos misères est le divertissement, et cependant, c'est la plus grande de nos misères, car c'est cela qui nous empêche principalement de
Page 235 - et comme nous avons joint à leurs connaissances l'expérience des siècles qui les ont suivis, c'est en nous que l'on peut trouver cette antiquité que nous révérons dans les autres