Il me faut donc malgré moi m'enfuir bien vite en me bouchant les oreilles pour échapper aux sirènes , si je ne veux pas rester jusqu'à la fin de mes jours assis à la même place auprès de lui. Pour lui seul dans le monde, j'ai éprouvé ce dont... Oeuvres de Platon - Page 328by Plato - 1831Full view - About this book
| 1859 - 656 pages
...Athéniens. Il me faut donc malgré moi m'enfuir bien vite en me bouchant les oreilles pour échapper aux sirènes , si je ne veux pas rester jusqu'à la fin...la honte en présence d'un autre homme : or il est le seul devant qui je rougisse. J'ai la conscience de ne pouvoir rien opposer à ses conseils, et pourtant,... | |
| Émile Lamé - 1861 - 382 pages
...vite en me bouchant les oreilles pour échapper aux sirènes, si je ne veux pas rester jusqu'à la tin de mes jours assis à la même place auprès de lui....la honte en présence d'un autre homme : or il est le seul devant qui je rougisse. J'ai la conscience de ne pouvoir rien opposer à ses conseils, et pourtant,... | |
| 1864 - 584 pages
...faut donc , malgré moi, m'enfuir bien vite en me bouchant les oreilles , comme pour échapper aux sirènes , si je ne veux pas rester jusqu'à la fin de mes jours fixé à la même place auprès de lui. Mais avant de quitter ces lieux , permets , ô Socfate , que... | |
| Ludovic Dugas - 1894 - 474 pages
...Il me faut malgré « moi m'enfuir bien vite en me bouchant les oreilles « comme pour échapper aux Sirènes, si je ne veux pas « rester jusqu'à la fin de mes jours à la même place « auprès de lui. Pour lui seul au monde, j'ai éprouvé ce « dont on ne me croirait... | |
| Ludovic Dugas - 1894 - 474 pages
...Il me faut malgré « moi m'enfuir bien vite en me bouchant les oreilles « comme pour échapper aux Sirènes, si je ne veux pas « rester jusqu'à la fin de mes jours à la même place « auprès de lui. Pour lui seul au monde, j'ai éprouvé ce .-i dont on ne me croirait... | |
| Ludovic Dugas - 1914 - 328 pages
...vivre. Il me faut malgré moi m'enfuir bien vite, en me bouchant les oreilles, comme pour échapper aux Sirènes, si je ne veux pas rester jusqu'à la fin de mes jours à la même place auprès de lui. Pour lui seul au monde, j'ai éprouvé ce dont on ne me croirait... | |
| Victor Delbos - 1918 - 356 pages
...m'éloigner de lui en me bouchant les oreilles comme pour échapper aux sirènes; sinon, je resterais jusqu'à la fin de mes jours assis à la même place auprès de lui. Il est le seul à éveiller en moi un sentiment dont on ne me croirait guère susceptible : de la honte... | |
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