Voyages, relations et mémoires originaux pour servir à l'histoire de la découverte de l'amérique, publ par M. Ternaux, Volumes 7-81837 |
Common terms and phrases
Aculhuas alliés Alvarado arrivé avaient avions ayant barque Boturini brigantins c'était cabanes Cacama Cacamatzin cacique canots capitaine Castillo cavaliers cent cerfs Chalco chefs Chichimèques chitl chrétiens Cohuanacoxtzin conduisit Cortès Cortès et Ixtlilxôchitl côté Culhuacan d'autres Diego diens Dieu Dorantès endroit envoya Espa Espagnols étions expédia faim femmes fils firent flèches Floride Francisco frère gens gnols gouverneur Guatemala habitants Indiens Ixtlilxô Ixtlilxôchitl jours jusqu'à l'armée l'eau l'ennemi l'histoire lendemain lieues maïs maisons majesté malades marche ment Mexicains Mexico Mexique mille hommes Mocthecuzoma mort naturels nobles nombre nommé Note de l'édit Notre-Dame de Guadalupe Nouvelle-Espagne nuit ordonna Otumba Oviedo pagnols Panuco passer pays pendant père personne présents pria prince province purent Quauhtemoc rendirent rent resta retourner revinrent rivière rois route royaume s'emparer s'étaient Sandoval seigneurs souverain suivant taient Teotihuacan terre Tezcoco Tlacopan Tlaxcala Tlaxcalan Tlaxcaltèques Toltèques troupes trouva tuèrent Veytia vice-roi village vinrent vivres voyage voyant Xochimilco
Popular passages
Page 137 - ... sans ces racines. Ils vont les chercher à deux ou trois lieues à la ronde. Quelquefois ils tuent du gibier , et ils prennent du poisson dans la saison; mais en très-petite quantité : leur appétit est si grand, qu'ils mangent des araignées , des œufs de fourmis , des vers , des lézards , des salamandres , des couleuvres , des vipères , dont la morcure est mortelle , de la terre , du bois , de la fiente de cerfs et bien d'autres choses dont je ne parlerai pas.
Page 293 - Oyoyotzin prudente, Famoso rey y singular monarca, Goza del bien presente, Que lo presente lo florido abarca; Porque vendrá algún día Que busques este gusto y alegría.
Page xxxii - N'at-il pas détesté la violence ? N'at-il pas défendu que jamais on l'employât pour annoncer sa doctrine? IN'at-il pas prescrit à ses apôtres d'opposer à la persécution des tyrans la charité, la patience, la résignation? Ne les at-il pas avertis, lorsque l'on résisterait à leurs insinuations, ou quand on les persécuterait, de secouer leurs sandales et de prendre une autre route? De tels principes condamnent la barbare conduite des conquérants du Mexique , et de tous temps ils passeront...
Page 294 - Entonces tu fortuna te ha de quitar el cetro de la mano, ha de menguar tu luna, no te verás tan fuerte y tan ufano; entonces tus criados de todo bien verán desamparados. Y en tan triste suceso los nobles descendientes de tu nido...
Page 209 - L'antimoine leur sert à se peindre le visage. Ils nous offrirent aussi beaucoup de coquillages , un grand nombre de peaux de vaches , et ils chargèrent ceux qui nous accompagnaient de tout ce qu'ils possédaient. Ils se nourrissent de tunas et de semences de pins. Cette contrée abonde en petits...
Page 296 - Culhuacan estrafiaran la cuna, y tenidos por tales con sus desdichas creceran sus males Y de esta grandeza rara, digna de mil coronas y blasones, sera la fama avara...
Page 118 - ... la faim , les orages, le froid qui souvent venaient m'assaillir lorsque j'étais seul au milieu d'un désert, et cependant grâce à l'extrême miséricorde du Seigneur, j'en suis revenu. Ces accidents m'empêchaient de faire mon commerce pendant l'hiver; car c'est une saison où les...
Page 292 - Ocbleacan pusiste En esta noble corte, y siendo tuyo. Tus sillas, y quisiste Vestirlas; donde arguyo, Que con grandeza tanta El Imperio se aumenta y se levanta. Oyoyotzin prudente...
Page 294 - Entonces tu Fortuna te ha de quitar el Cetro de la mano, ha de menguar tu Luna, no te veras tan fuerte y tan ufano; entonces tus criados de todo bien seran desaraparados. Y en tan triste suceso los nobles descendientes de tu nido, de Principes el peso, los que de nobles Padres ban nacido, laltando tu Cabeza, gustaran la amargura de pobreza.
Page 129 - Après le débarquement il avait révoqué le contador de sa charge de lieutenant du gouverneur, et il avait revêtu de cet emploi un capitaine qui l'accompagnait, nommé Pentoja. Le soir Pamphilo de Narvaez ne voulut pas descendre à terre, il resta dans sa barque avec le patron et un mousse qui étaient malades : ils n'avaient ni eau , ni vivre. A. minuit il s'éleva un vent du nord si violent, que l'embarcation qui n'avait pour ancre qu'une pierre, fut emportée en pleine mer, sans que personne...