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" ... d'ailes d'un grand oiseau blessé qui râle. Des cris d'angoisse venaient de là-haut, de cette espèce de grappe humaine suspendue. Cris d'hommes, cris rauques, plus sinistres que ceux des femmes, parce qu'on est moins habitué à les entendre; cris... "
La bataille littéraire - Page 3
by Philippe Gille - 1890
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Revue des deux mondes, Volumes 57-58

François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1883 - 972 pages
...plus sinistres que ceux des femmes, parce qu'on est moins habitué à les entendre; cris d'horrible douleur : — une main prise quelque part, des doigts...heures que cela durait; ils étaient épuisés; ils ne pouvaient plus. Alors on les fit descendre, pour envoyer à leur place ceux de bâbord qui étaient...
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Revue des deux mondes, Volumes 57-58

François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1883 - 1134 pages
...plus sinistres que ceux des femmes, parce qu'on est moins habitué à les entendre ; cris d'horrible douleur : — une main prise quelque part, des doigts...l'attachaient, pour essayer de l'affaler jusqu'en bas. ... 11 y avait deux heures que cela durait; ils étaient épuisés; ils ne pouvaient plus. Alors on...
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Mon frère Yves

Pierre Loti - 1895 - 420 pages
...plus sinistres que ceux des femmes, parce qu'on est moins habitué à les entendre; cris d'horrible douleur : une main prise quelque part, des doigts...heures que cela durait; ils étaient épuisés ; ils ne pouvaient plus. Alors on les fit descendre, pour envoyer à leur place ceux de bâbord qui étaient...
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Selections from Pierre Loti [pseud.]: Ed. with Introduction, Notes, and ...

Pierre Loti - 1897 - 262 pages
...qui se dépouillaient de leur chair ou s'arrachaient ; — ou bien un malheureux, moins fort que 5 les autres, crispé de froid, qui sentait qu'il ne...autres, par pitié, l'attachaient, pour essayer de V affaler jusqu'en bas. ... Il y avait deux heures que cela durait ; ils 10 étaient épuisés ; ils...
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Mon frère Yves

Pierre Loti - 1898 - 416 pages
...plus sinistres que ceux des femmes, parce qu'on est moins habitué à les eatendre; cris d'horrible douleur : une main prise quelque part, des doigts...autres, par pitié, l'attachaient, pour essayer de l'aflaler jusqu'en bas. ... Il y avait deux heures que cela durait; ils étaient épuisés ; ils ne...
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Pages choisies des auteurs contemporains

Pierre Loti - 1919 - 472 pages
...plus sinistres que ceux des femmes, parce qu'on est moins habitué à les entendre ; cris d'horrible douleur : une main prise quelque part, des doigts...heures que cela durait; ils étaient épuisés; ils ne pouvaient plus. Alors on les fit descendre, pour envoyer à leur place ceux de bâbord qui étaient...
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Matelot

Pierre Loti - 1954 - 256 pages
...si-nistres que ceux des fem-mes, parce qu'on est moins habi-tué à les en-tendre ; cris d'hor-rible dou-leur : une main prise quelque part, des doigts...ou bien un ma-lheu-reux, moins fort que les autres, que les au-tres, cris-pé de froid, qui sen-tait qu'il ne se te-nait plus, que le ver-tige ve-nait,...
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