Réformateurs et jésuites: guerres de religion en FranceImprimerie Darantière, 1876 - 657 pages |
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armée assemblée avaient Béarnais Biron bourgeois c'était Calvin cardinal Catherine catholique cause Charles Charles IX chef choses Coligny concile conseil coup couronne démagogique demande devant Dieu dire disait dit-il doctrine duc de Guise duc de Mayenne enfin ennemis Espagnols esprit Etats faisait fallait fanatisme Farel force François Ier fût général Genève gouvernement guerre Henri de Guise Henri III Henri IV hérétiques hommes huguenots j'ai Jean Calvin Jean Huss Jean XXIII Jérôme jeté jour juger l'autre l'édit l'Eglise l'Espagne l'homme laisser LEÇON MESSIEURS Léon X liberté Ligue Ligueurs livres Louvre Luther main Majesté Mayenne ment ministre mort n'avait n'était Navarre paix pape Parlement parole passer passions pauvre peuple Philippe politique porte pouvait prêche premier prêtres prince protestantisme protestants raison Réforme reine religieux religion reste révolution rien royale royaume s'était s'il saint savez seigneurs seizième siècle serait seulement sorte Sully tête tion traité triste trouver venait voilà voulait Wittemberg
Popular passages
Page 582 - Je ne vous ai point appelés, comme faisaient mes prédécesseurs, pour vous faire approuver leurs volontés. Je vous ai assemblés pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains, envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.
Page 582 - France non seulement quasi ruinée, mais presque perdue pour les Français. Par la grilce divine, par les prières et bons conseils de mes serviteurs qui ne font profession des armes, par l'épée de ma brave et généreuse noblesse (de laquelle je ne distingue point...
Page 380 - Ah ! malheureux hypocrites, vous vous moquez donc de Dieu sous le masque, et portez par contenance un fouet à votre...
Page 12 - ... donne; qui n'a pouvoir de leur nuire, sinon de tant qu'ils ont vouloir de l'endurer; qui ne scauroit leur faire mal aulcun , sinon lors qu'ils aiment mieulx le souffrir que luy contredire. Grand...
Page 12 - Celui qui vous maîtrise tant n'a que deux yeux, n'a que deux mains, n'a qu'un corps et n'a autre chose que ce qu'a le moindre homme du grand nombre infini de vos villes ; sinon qu'il a plus que vous tous : c'est l'avantage que vous lui faites pour vous détruire.
Page 469 - J'ai pris Eu. Les ennemis qui sont forts, au double de moi, asteure, m'y pensaient attraper; ayant fait mon entreprise, je me suis rapproché de Dieppe et les attends à un camp que je fortifie. Ce sera demain que je les verrai, et espère avec l'aide de mon Dieu, que s'ils m'attaquent, ils s'en trouveront mauvais marchands. Ce porteur part par mer ; le vent et mes affaires me font finir, en vous baisant un million de fois. Ce y septembre, dans la tranchée à Arques.
Page 440 - Bref, c'est un Turc par la tête, un Allemand par le corps, une harpie par les mains, un Anglais par la jarretière, un Polonois par les pieds et un vrai diable en l'âme.
Page 550 - Les gens de guerre embâtonnés, les fifres, les tambours sonnant, l'artillerie et escopetterie, les trompettes et clairons, la grande suite de gentilshommes, les demoiselles parées, la délicatesse du pénitent, appuyé sur le col d'un mignon, pour le grand chemin qu'il...
Page 12 - ... de celui que vous faites si grand qu'il est, pour lequel vous allez si courageusement à la guerre, pour la grandeur duquel vous ne refusez point de présenter à la mort vos personnes.
Page 408 - Le diable est déchaîné, je suis à plaindre, et c'est merveille que je ne succombe sous le faix. Si je n'étais huguenot, je me ferais turc. Ah ! les violentes épreuves par où l'on sonde ma cervelle ! je ne puis faillir d'être bientôt un fol ou habile homme' ; cette année sera ma pierre de touche ; c'est un mal bien douloureux que le domestique.