Guizot collection of pamphlets, Volume 32

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1851
 

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Popular passages

Page 87 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 100 - Et personne ne quittera pour moi et pour l'Evangile sa maison , ou ses frères , ou ses sœurs , ou son père , ou sa mère , ou sa femme , ou ses enfants , ou ses...
Page 100 - N' aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde ; si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui. 16 Car tout ce qui est dans le monde...
Page 22 - Duc que nous lui sommes très humbles et très obéissants serviteurs ; mais que pour ce que vous nous proposez de sa part , il ne se fit jamais , il ne se peut faire , et il ne se fera pas.
Page 64 - Baudot, si l'étrangeté de ce cMe micrip- monument ne me faisait douter de son origine. C'est un dé en pierre blanche fort tendre , semblable à celle de plusieurs fragments d'architecture déposés dans le passage de la Cour-de-Bar, à l'Hôtel-de-Ville. De ce dé, creusé cylindriquement de part en part , on a fait une urne en lui adaptant un fond de pierre pareille , percé au milieu d'un trou garni de fer, et cloué par les quatre coins comme une planche de sapin. Les trous sont parfaitement...
Page 207 - Il donnait au roi d'excellentes raisons de sa conduite, et résumant avec clarté la situation générale, il écrivait : « La nécessité porte Votre Majesté à la paix ; la crainte et la défiance conduisent les Etats à la guerre.; et la reine ne désire à bon escient ni l'un ni l'autre ; mais elle veut voir ses voisins embrouillés, et cependant faire ses affaires. Sur ces trois fondements si divers, je ne sais quel édifice on pourra bâtir (2). » Et il pressait le roi de ne point se préoccuper...
Page 20 - ... et lui, que les Bourguignons demeureraient fidèles au roi, à la condition que de son côté il respecterait leurs franchises. Ils acceptaient l'unité politique, mais ils ne voulaient pas être traités comme des mineurs sans intelligence. Louis XI dut donc se résigner; il jura de respecter les libertés bourguignonnes, et depuis lors, tous les rois ses successeurs, y compris Louis XVI, les ont solennellement confirmées. Ce qui en restait a disparu, pendant la Révolution, aux cris de vive...
Page 111 - Nos rois et nos ducs, est-il dit, ont honoré la province » de beaux droits ; nos assemblées ont formé des décrets » utiles au public, qui ne sont pas observés, parce qu'ils • sont inconnus, et qui peuvent se perdre par la suite » des temps. Afin donc que tous soient instruits des
Page 36 - Lettres en forme de dissertation sur l'ancienneté de la ville d'Autun et l'origine de celle de Dijon. Il établit dans la première , en s'appuyant surtout sur les Commentaires de César, que la fameuse Bibracte des Eduens n'est autre qu'Autun. Dans la...
Page 79 - Rapport fait à l'Académie des inscriptions et belles-lettres, au nom de la commission des antiquités de la France; par M. Lenormant. Lu dans la séance publique annuelle du 16 août 1850. Imp. de F. Didot, à Paris. 1850. In-4° de 4 f.

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