| 1881 - 972 pages
...vivais dans une sorte de rêve permanent, et je m'en allais au-delà des mers, dans des pays inconnus où il ya des arbres extraordinaires, des cavernes...s'étendait une sorte de clos qui aboutissait à un vaste champ nommé la poterne, car il confinait aux anciennes fortifications de la petite ville; là... | |
| Maxime Du Camp - 1882 - 602 pages
...profonde, si profonde qu'elle m'absorba. Je vivais dans un songe permanent, et je m'en allais au delà des mers, dans des pays où il ya des arbres extraordinaires,...dominaient un petit mur. Je grimpais sur la muraille; je me glissais le long des branches, j'escaladais le tronc jusqu'à une bifurcation où je m'installais,... | |
| Maxime Du Camp - 1892 - 432 pages
...m'absorba. Je vivais dans un songe permanent, et je m'en allais au delà des mers, dans des pays où il ya des cavernes de sel, des autruches sur lesquelles...Poterne, car il confinait aux anciennes fortifications de la petite ville; là s'élevait un noyer dont les branches dominaient un mur. Je grimpais sur la... | |
| Maxime Du Camp - 1892 - 428 pages
...m'absorba. Je vivais dans un songe permanent, et je m'en allais au delà des mers, dans des pays où il ya des cavernes de sel, des autruches sur lesquelles...aboutissait à un champ nommé la Poterne, car il confluait aux anciennes fortifications de la petite ville; là s'élevait un noyer dont les branches... | |
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