Drames et fantaisiesMichel Lévy frères, 1865 - 390 pages |
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... côté formait lui - même le futur époux de sa fille unique . « Les enfants grandirent , ajoute Aly , ils se virent souvent , ils s'aimèrent ... jusqu'au jour de la tempête . Vous savez comme la foudre tomba sur la haute tour de l ...
... côté formait lui - même le futur époux de sa fille unique . « Les enfants grandirent , ajoute Aly , ils se virent souvent , ils s'aimèrent ... jusqu'au jour de la tempête . Vous savez comme la foudre tomba sur la haute tour de l ...
Page 17
... côté des vivants personnages de son poëme ; ce bon Aly , qui se con- vertit si aisément et paraît tout surpris qu'Abdul- lah , le type du patriotisme arabe et de la fidélité musulmane , ne se soit pas empressé de l'imiter , ce bon Aly ...
... côté des vivants personnages de son poëme ; ce bon Aly , qui se con- vertit si aisément et paraît tout surpris qu'Abdul- lah , le type du patriotisme arabe et de la fidélité musulmane , ne se soit pas empressé de l'imiter , ce bon Aly ...
Page 54
... côté des novateurs fougueux , le maître de la beauté pure , et que Goethe n'était pas mort . Quand on voit de 1820 à 1830 les dramatiques essais d'Immermann , de Henri Heine , de Christian Grabbe , envahir tumultueusement la scène où ...
... côté des novateurs fougueux , le maître de la beauté pure , et que Goethe n'était pas mort . Quand on voit de 1820 à 1830 les dramatiques essais d'Immermann , de Henri Heine , de Christian Grabbe , envahir tumultueusement la scène où ...
Page 68
... côtes du pays des Maures et vers les plaines éternellement heureuses de l'A- rabie . Oh ! crains don Fernand et ses conseillers , qui ont juré une haine implacable à toute belle lu- mière . Crains doña Isabelle , Isabelle l'orgueilleuse ...
... côtes du pays des Maures et vers les plaines éternellement heureuses de l'A- rabie . Oh ! crains don Fernand et ses conseillers , qui ont juré une haine implacable à toute belle lu- mière . Crains doña Isabelle , Isabelle l'orgueilleuse ...
Page 76
... côté de lui gisait ma mère , tout en larmes , avec ses ser- vantes couvertes de voiles noirs ; par instants ré- gnait un grand silence , mais si une seule voix en soupirant prononçait ce mot : « Grenade ! » les plaintes éclataient de ...
... côté de lui gisait ma mère , tout en larmes , avec ses ser- vantes couvertes de voiles noirs ; par instants ré- gnait un grand silence , mais si une seule voix en soupirant prononçait ce mot : « Grenade ! » les plaintes éclataient de ...
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Common terms and phrases
Abdullah Abraham Allah Almansor âme amour assis Bacharach beau belle Sara bien-aimée bon Aly bras brillante c'était chanson chant charmante château d'Aly cher chère image chevalier chevreuil chrétien ciel cœur comte de Douglas coup d'Abdullah d'Almansor d'or Dieu DON DIEGO DON ENRIQUE doña douce DOUGLAS douleur doux Duncan Écosse Édouard enfant espagnol femme fenêtre fiancée fleurs forêt Goethe gracieuse Grenade Henri Heine homme image Immermann j'ai j'entends jeune fille joie joli jour joyeux Juifs l'amour là-haut larmes LESLEY lèvres long nez lune MAC-GRÉGOR Macdonald main maison mansor MARGUERITE Marie Maures mort nuit pâle PEDRILLO père petit bouc petite pleure poëme poésie poëte poitrine porte Rabbin regards retentir rêve romantiques rose rossignol rouge sang scène Schnapper-Ellé Schwarzenstein señor serpents seul Shakspeare soleil sombre sort soupirs souriant Stern au long synagogue tête tour de l'Alhambra tragédies triste veux visage vois voix William Ratcliff yeux Zuleima
Popular passages
Page 176 - Notre Père qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel, DONNEZ-NOUS AUJOURD'HUI NOTRE PAIN QUOTIDIEN, pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal.
Page 176 - Donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour ; pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; et ne nous laissez pas succomber à la tentation ; mais délivrez-nous du mal. Ainsi soit-il.
Page 228 - Le moulin à eau fait danser dans un rayon de soleil sa poussière de diamants; son lointain murmure vient jusqu'à moi. Sur une vieille tour grise est une guérite; un jeune gars en habit rouge va et vient sur le rempart. Il joue avec son fusil, qui étincelle au soleil; il présente l'arme, il couche en joue... Je voudrais que d'un coup de feu il m'étendit roide mort.
Page 249 - Dieu est trépassé là-haut; là-bas aussi, le diable est mort. Et tout a un air triste et morose; tout est embrouillé, tout est flasque et froid. Sans le brin d'amour qui nous reste, il n'y aurait rien où le cœur pourrait se reposer. XXXVIII. Comme la lune sort brillante de son noir crêpe de nuages ! Ainsi du fond ténébreux de mes souvenirs s'élève à mes yeux une image lumineuse. Nous étions assis sur le pont du navire, nous descendions fièrement le Rhin, et les rives du fleuve parées...
Page 227 - ... l'obscurité, ils sont inquiets, ils ont peur, et, pour chasser leur angoisse, : ils se mettent à chanter à haute voix. Moi aussi, fol enfant, je chante aujourd'hui dans les ténèbres; si mon chant ne résonne pas d'une façon harmonieuse, il m'a délivré cependant des angoisses de mon cœur.
Page 33 - Il y a ordinairement chez la jeunesse un spiritualisme généreux alors même qu'elle cède à ses passions, et volontiers elle méprise la vie tout en s'enivrant de ses jouissances; moins généreuse, mais désabusée, la vieillesse, à son tour, élève ses regards au-delà de ce monde des sens dont elle sait l'amertume et le néant. Rien de semblable chez Henri Heine. Les cheveux blanchis, le corps dévasté par la souffrance, il chantera encore sur son lit de torture les joies de l'existence...
Page 60 - ... saignant, oh! j'ai bien compris ton chant et ta plainte; mais cesse de faire retentir ces accens sauvages... Surtout ne prends pas plaisir à jouer avec les serpens. Celui qui joue avec les serpens jusqu'au bord de la tombe, dans le sein même de la tombe les serpens le suivent encore, ils l'enlacent, ils l'enserrent, et quand son cœur veut s'envoler au ciel, ils le retiennent dans la fange. » Le vieux maître avait raison; mais, nous qui jugeons ces choses à distance, nous savons qu'il était...
Page 298 - Arrivez-vous à trouver les matières premières ? Avez-vous obtenu des ouvriers militaires ? En êtes-vous content ? Ils filent doux, hein, maintenant ! Plus d'inspection du travail, plus de questions de salaires...
Page 279 - J'écoute une sonnerie de clochettes lointaines, et je rêve ... je ne sais à quoi. VI. Doucement, au fond de mon cœur, j'entends les tintemens d'une mélodie gracieuse. Résonne, petite chanson printanière, résonne et envole-toi dans l'espace. Envole-toi dans l'espace, va jusqu'à la demeure où les plus belles fleurs s'épanouissent.
Page 17 - Pedrillo, serviteur d'Aly, qui a changé de religion comme s'il eût changé de livrée. Son maître, en se convertissant, a converti toute sa valetaille. Pedrillo en est encore tout ahuri. Le pauvre diable s'embrouille au milieu des noms espagnols substitués aux noms arabes, et si quelque juron mahométan éclate sur ses lèvres, il se hâte d'en retrancher la moitié pour la remplacer par un juron chrétien. Inutile de dire que, sa religion lui ayant été imposée, il n'en sait pas le premier...