 Dieu est trépassé là-haut; là-bas aussi, le diable est mort. Et tout a un air triste et morose; tout est embrouillé, tout est flasque et froid. Sans le brin d'amour qui nous reste, il n'y aurait rien où le cœur pourrait se reposer. XXXVIII. Comme...  Drames et fantaisies - Page 249by Heinrich Heine - 1865 - 390 pagesFull view - About this book
 | Unknown - 1854 - 1294 pages
...avec des regrets ardens. Le monde alors était une demeure si commode ! la rie était si paisible ! Aujourd'hui quel désordre! quelle cohue! quelle misère!...les rives du fleuve parées de la verdure de l'été éiincelaient des feux du couchant. J'étais assis pensif aux pieds d'une dame belle et charmante;... | |
 | Maurice Tourneux - 1970 - 1012 pages
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 | Heinrich Heine - 1978 - 468 pages
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 | Heinrich Heine - 1970 - 466 pages
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 | 1854 - 1290 pages
...avec des regrets ardens. Le monde alors était une demeure si commode ! la vie était si paisible ! Aujourd'hui quel désordre! quelle cohue! quelle misère!...verdure de l'été étincelaient des feux du couchant. J'étais assis pensif aux pieds d'une dame belle et charmante; sur son doux et pâle visage se jouait... | |
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