 | Jacques Bénigne Bossuet - 1803 - 512 pages
...chanté, nous tiendrons toujours a ton unité par le fond de nos entrailles. « Si je t'oublie, «Eglise Romaine , puissé - je m'oublier «moi-même! que...et «demeure immobile dans ma bouche, »si tu n'es pas toujours la première »dans mon souvenir , si je ne te mets pas »au commencement de tous mes... | |
 | Louis François de Bausset - 1814 - 494 pages
...toujours à ton unité par >j le fond de nos entrailles. Si je t'oublie, Eglise » romaine, puissé-je m'oublier moi-même! que » ma langue se sèche, et demeure immobile dans » ma bouche, si tu n'es pas toujours la première » dans mon souvenir, si je ne te mets pas au com» mencement de mes cantiques... | |
 | cardinal Louis François de Bausset - 1814 - 482 pages
...entrailles. Si je t'oublie, Eglise » romaine, puisse-je m'oublier moi-même! que d'ouverture . . » ma langue se sèche, et demeure immobile dans » ma bouche, si tu n'es pas toujours la première » dans mon souvenir, si je nete mets pas au cona» mencement de mes cantiques... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1816 - 656 pages
...toujours à ton unité par le Tond de nos entrailles. « Si je t'oublie, Eglise romaine, » puisse-je m'oublier moi-même! que ma langue se » sèche et...demeure immobile dans .ma bouche , si •» tu n'es pas toujours la première dans mon souve» nir, si je ne te mets pas au commencement de tous » mes... | |
 | 1816 - 884 pages
...toujours à ton unité par le fond de nos entrailles. Si je t'oublie, ô Eglise romaine , puisse-je m'oublier moi-même ! Que ma langue se sèche et demeure immobile dans ma bouche si tu n'es pas toujours la première dans mon souvenir, si je ne te mots pas au commencement de louis mes cantiques... | |
 | 1817 - 422 pages
...toujours à ton unité par le fond de nos entrailles. Si je t'oubiie, ô Eglise romaine, puisse-je m'oublier moi-même! Que ma langue se sèche et demeure immobile dans ma bouche si tu n'es pas toujours la première dans mon sou venir, si je ne te mets pas au commencement de tous mes cantiques... | |
 | Denis Frayssinous - 1818 - 234 pages
...toujours à ton unité par » le fond de nos entrailles ! si je t'oublie, église » romaine , puissé-je m'oublier moi-même ! que » ma langue se sèche et demeure immobile dans » ma bouche , si tu n'es pas toujours la pre» mière dans mon souvenir, si je ne te mets pas » au commencement de tous mes... | |
 | cardinal Louis François de Bausset - 1819 - 478 pages
...toujours à ton unité par » le fond de nos entrailles. Si- je t'oublie, Eglise » romaine, puissé-je m'oublier moi-même ! que » ma langue se sèche, et demeure immobile dans » ma bouche, si tu n'es pas toujours la première » dans mon souvenir , si je ne te mets pas au » commencement de mes cantiques... | |
 | Joseph Marie comte de Maistre - 1819 - 308 pages
...humblement à la condamnation de son livre ; « ô sainte » Eglise de Rome ! si je t'oublie, puissé-je » m'oublier moi-même ! que ma langue » se sèche et demeure immobile dans ma » bouche ! » Les mêmes expressions tirées de l'écriture sainte se présentoient à ces deux génies supérieurs... | |
 | Toussaint Félix Jolly - 1824 - 682 pages
...tiendrons toujours à ton unité par le fond de nos entrailles. Si je t'oublie , Eglise romaine, puisse-je m'oublier moimême ! Que ma langue se sèche et demeure immobile dans ma bouche, si tu n'es pas toujours la première dans mon souvenir. —Adluereattingua mea fauclbus meissinonmemlnero tut,... | |
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Église romaine, puissé-je m'oublier moi-même ! que ma langue se sèche et demeure immobile dans ma bouche, si tu n'es pas toujours la première dans mon souvenir, si je ne te mets pas au commencement de tous mes cantiques de réjouissance... 
