... pensées , en épanchements et en larmes d'adoration devant Dieu , pendant ces brûlantes années d'adolescence, dans une maison religieuse. Toutes mes passions futures encore en pressentiments, toutes mes facultés de comprendre, de sentir et d'aimer... L'Ami de la religion - Page 4081849Full view - About this book
| Alphonse de Lamartine - 1849 - 268 pages
...rргч Гч cultés de comprendre, de sentir et d'aimer encore en germe, toutes les voluptés et toutes les douleurs de ma vie encore en songe, s'étaient,...condensées dans cette passion de Dieu, comme pour oft'rir au créateur de mon être, au printemps de mes jours, les prémices, les flammes et les parfums... | |
| Alphonse de Lamartine - 1857 - 594 pages
...toutes mes facultés de comprendre, de sentir et d'aimer encore en germe, toutes les voluptés et toutes les douleurs de ma vie encore en songe, s'étaient,...encore profanée, éteinte ou évaporée avant lui. Je vivrais mille ans que je n'oublierais pas certaines heures du soir où, m'échappant pendant la... | |
| Alphonse de Lamartine - 1863 - 532 pages
...toutes mes facultés de comprendre, de sentir et d'aimer encore en germe, toutes les voluptés et toutes les douleurs de ma vie encore en songe, s'étaient...encore profanée, éteinte ou évaporée avant lui. Je vivrais mille ans que je n'oublierais pas certaines heures du soir où, m'échappant pendant la... | |
| Auguste Viatte - 1922 - 424 pages
...toutes me* facultés de comprendre, de sentir et d'aimer encore en germe, toutes les voluptés et toutes les douleurs de ma vie encore en songe, s'étaient,...recueillies et condensées dans cette passion de Dieu 2... Et il nous dit de sa mère : ... Toutes les voluptés de la prière, toutes les larmes de l'admiration,... | |
| Alphonse de Lamartine - 1925 - 1114 pages
...toutes mes facultés de comprendre, de sentir et d'aimer encore en germe, toutes les voluptés et toutes les douleurs de ma vie encore en songe, s'étaient...n'avait encore profanée, éteinte, ou évaporée avant lai. • Je vivrais mille ans que je n'oublierais pas certaines heures du soir où, m'échappant pendant... | |
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