... donnaient aux choses les plus sérieuses du monde, pourvu seulement qu'elles fussent en petits vers ; d'où vient que, durant la guerre de Paris en 1649, on imprima une pièce assez mauvaise, mais sérieuse pourtant, avec ce titre, qui fit justement... Curiosités littéraires - Page 80by Ludovic Lalanne - 1845 - 471 pagesFull view - About this book
| Paul Pellisson-Fontanier - 1730 - 464 pages
...dont à la fin nous commençons à guérir , étoit venue fi avant, que les Libraires ne vouloient rien qui ne portât ce nom: que par ignorance, ou- pour mieux débiter leur marchandife, ils le donnoient aux chofes les plus férieufes du monde , pourvu feulement qu'elles fuflènt... | |
| Christian Friedrich von Blankenburg - 1798 - 532 pages
...du franc. Arch ¡er de Bagnolet unb Dialogue entre Malepaye et Baille vent.) — '€1 " vouloien t rien qui ne portât ce nom; que par ignorance , ou pour mieux débiter leur marchàndife, ils je donnoient aux chofes les1 plu« ftrieufes da monde, pourv eu feulement qu'elles... | |
| Scarron (Monsieur) - 1825 - 512 pages
...burlesque, dont « à la fin nous commençons à guérir, était venue si avant. « que les liîjraircs ne voulaient rien qui ne portât ce nom : « que par ignorance, ou pour mieux débiter leur mar« chandise, ils le donnaient aux choses les plus sérieuses « du monde, pourvu seulement qu'elles... | |
| Paul Scarron - 1835 - 210 pages
...lui l'emportant toujours. Son style, du reste, eut une grande vogue ; et la fureur du burlesque vint si avant , que les libraires ne voulaient rien qui ne portât ce nom. De cette multitude innombrable d'auteurs burlesques qui, alors, surgirent de partout comme des champignons... | |
| L. Lafaist, Félix Danjou - 1838 - 504 pages
..., dont à la fin nous commen cons à guérir, étoit venue si avant que les libraires ne vouloient rien qui ne portât ce nom; que, par ignorance ou pour mieux débiter leur marchandise, ils le donnoient aux choses les plus sérieuses du monde , pourvu seulement qu'elles fussent en petits... | |
| 1838 - 486 pages
..., dont à la fin nous commençons à guérir, étoit venue si avant que les libraires ne vouloient rien qui ne portât ce nom; que, par ignorance ou pour mieux débiter leur marchandise, ils le donnoient aux choses les plus sérieuses du monde , pourvu seulement qu'elles fussent en petits... | |
| Paul duc de Noailles - 1848 - 618 pages
...dames et les seigneurs de la cour, jusqu'aux femmes de chambre et aux valets. Cette fureur de burlesque était venue si avant , que les libraires ne voulaient rien qui ne portât ce nom, et que pour mieux débiter leur marchandise, ils appelaient ainsi tout ce qui était écrit en petits... | |
| Paul Scarron, Victor Fournel - 1858 - 532 pages
...dames et seigneurs de la cour, jusqu'aux femmes de chambre et aux valets. Cette fureur du burlesque était venue si avant, que les libraires ne voulaient...sérieuses du monde, pourvu seulement qu'elles fussent en petits vers. D'où vient qu'en 1649, on imprima une pièce assez mauvaise, mais sérieuse pourtant,... | |
| Paul Scarron - 1858 - 534 pages
...dames et seigneurs de la cour, jusqu'aux femmes de chambre et aux valets. Cette fureur du burlesque était venue si avant, que les libraires ne voulaient...sérieuses du monde, pourvu seulement qu'elles fussent en petits vers. D'où vient qu'en 1649, on imprima une pièce assez mauvaise, mais sérieuse pourtant,... | |
| Paul Scarron - 1858 - 500 pages
...dames et seigneurs de la cour, jusqu'aux femmes de chambre et aux valets. Cette fureur du burlesque était venue si avant, que les libraires ne voulaient...nom, que, par ignorance, ou pour mieux débiter leur hiarcbandise, ils donnaient aux choses les plos sérieuses du monde, pourvu seulement qu'elles fussent... | |
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