La philosophie der Malebranche et son expérience religieuseJ. Vrin, 1926 - 426 pages |
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1re Lettre Ambrosius Victor âme anges Arnauld augustinienne autem cartésienne cause occasionnelle chapitre choses Chrét Christ connaissance connaître consentement corps créatures créé Descartes dessein dire divine doctrine édition enim Entretiens esprit etiam fausses idées gloire hommes Ibidem immuable intelli jansénisme Jansénius Jésus Jésus-Christ l'âme l'amour l'esprit l'étendue intelligible l'être l'existence de Dieu l'homme l'idée de Dieu l'infini l'univers Lettre en réponse Lettre touchant liberté Livre des vraies lois lumière Malebranche n'a manière Méditations ment métaphysique monde mouvement nature nécessaire objets péché Pélagiens pensée perfection philosophie chrétienne philosophie de Malebranche physique Porcq prédestination Prémotion principe problème quæ quod raison rapport réalité Recherche Réflexions réponse au livre représente rien sagesse saint Augustin saint Bonaventure saint Paul scolastique sens sentiment seulement Spinoza spirituel substance sunt supra texte théologie théorie des idées Thomistes tion Traité Verbe VIII vision en Dieu volontés générales volontés particulières voyons
Popular passages
Page 401 - Cela se fait par figure et mouvement, car cela est vrai. » Mais de dire quels, et composer la machine., cela est ridicule ; car cela est inutile , et incertain et pénible. Et quand cela seroit vrai , nous n'estimons pas que toute la philosophie vaille une heure de peine '. 102.
Page 19 - Notre Père qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel...
Page 298 - ... y jouisse des fruits de la paix avec d'autant plus de sûreté, et où, parmi la foule d'un grand peuple fort actif et plus soigneux de ses propres affaires que curieux de celles d'autrui, sans manquer d'aucune des commodités qui sont dans les villes les plus fréquentées, j'ai pu vivre aussi solitaire et retiré que dans les déserts les plus écartés.
Page 342 - ... quelque chose de différent de cet ouvrage même ; mais de cela seul que Dieu m'a créé , il est fort croyable qu'il m'a en quelque façon produit à son image et semblance , et que je conçois cette ressemblance , dans laquelle l'idée de Dieu se trouve contenue , par la même faculté par laquelle je me conçois moi-même ; c'est-à-dire que , lorsque je fais réflexion sur moi...
Page 79 - Car si on s'imagine qu'audelà des cieux il n'ya rien que des espaces imaginaires, et que tous les cieux ne sont faits que pour le service de la terre, ni la terre que pour l'homme, cela fait qu'on est enclin à penser que cette terre est notre principale demeure et cette...
Page 260 - Enfin, lorsque je dis que quelque idée est née avec nous, ou qu'elle est naturellement empreinte en nos âmes , je n'entends pas qu'elle se présente toujours à notre pensée , car ainsi il n'y en aurait aucune ; mais j'entends seulement que nous avons en nousmêmes la faculté de la produire.
Page 247 - ... je désire, dis-je, que vous considériez que ces fonctions suivent toutes naturellement, en cette machine, de la seule disposition de ses organes, ne plus ne moins que font les mouvements d'une horloge ou autre automate de celle de ses contre-poids et de ses roues...
Page 150 - ... si je connaissais toujours clairement ce qui est vrai et ce qui est bon, je ne serais jamais en peine de délibérer quel jugement et quel choix je devrais faire ; et ainsi je serais entièrement libre sans jamais être indifférent.
Page 342 - Et de vrai on ne doit pas trouver étrange que Dieu, en me créant, ait mis en moi cette idée, pour être comme la marque de l'ouvrier, empreinte sur son ouvrage...
Page 340 - Mais non-seulement l'esprit a l'idée de l'infini, il l'a même avant celle du fini. Car nous concevons l'être infini, de cela seul que nous concevons l'être, sans penser s'il est fini ou infini. Mais afin que nous concevions un être fini, il faut nécessairement retrancher quelque chose de cette notion générale de l'être, laquelle par conséquent doit précéder.