Revue de linguistique et de philologie comparée, Volume 23

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Kraus Reprint Corporation, 1890
 

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 145 - Au point de vue grammatical, l'adjectif s'accorde en genre et en nombre avec le substantif auquel il se rapporte, et c'est ici que nous entrons dans le vif de notre sujet.
Page 97 - Si del séptimo salgo, gran derecho tengo a salir con vida deste trago. Ya tenemos a un cabo los cuartetos. ¿Qué me decís, Señora? ¿No ando bravo? Mas sabe Dios si temo los tercetos. Y si con bien este soneto acabo nunca en toda mi vida más sonetos: ya deste, gloria a Dios, he visto el cabo.
Page 97 - Pedís, Reina, un soneto: ya le hago; ya el primer verso y el segundo es hecho; si el tercero me sale de provecho, con otro verso el un cuarteto os pago. Ya llego al quinto: ¡España! ¡Santiago! fuera, que entro en el sexto. ¡Sus, buen pecho!
Page 96 - Puisqu'on si peu de temps je m'en tire si net. J'entame le second et ma joie est extrême, Car des vers commandés j'achève le treizième : Comptez s'ils sont quatorze, et voilà le Sonnet...
Page 97 - ... aprieto; catorce versos dicen que es soneto; burla burlando van los tres delante. Yo pensé que no hallara consonante, y estoy a la mitad de otro cuarteto; mas si me veo en el primer terceto, no hay cosa en los cuartetos que me espante. Por el primer terceto voy entrando, y aun parece que entré con pie derecho, pues fin con este verso le voy dando.
Page 96 - En voilà cependant desja quatre de faits. Je ne pouvois d'abord trouver de rime; mais, En faisant on apprend à se tirer d'affaire. Poursuivons, les quatrains ne m'estonneront guère, Si du premier terset je puis faire les frais. Je commence au hazard, et, si je ne m'abuse, Je n'ai pas commencé sans l'aveu de la Muse, Puisqu'on si peu de temps je m'en tire si net.
Page 288 - ... J'y vois que qui craint le joug des lois et le frein des mœurs ne craint rien de toi. Mais le mal, m» dit-on, mais si tu fais le mal?... Eh bien! je ne vois pas le mal qu'un ver tel que moi fait à Dieu ; mais tout me dit que le vrai Dieu ne hait point, ou qu'il ne hait point sans fin; tout me dit qu'il n'est pas tel que le peint le juif, un dieu de feu, de fer et de sang... Un dieu de sang ! ô ciel ! lui à qui je dois le jour qui me luit et la fleur qui naît sous mes pas, et le jeu si doux...
Page 97 - ... delante. Yo pensé que no hallara consonante, y estoy a la mitad de otro cuarteto; mas si me veo en el primer terceto, no hay cosa en los cuartetos que me espante. Por el primer terceto voy entrando, y parece que entré con pie derecho pues fin con este verso le voy dando. Ya estoy en el segundo; y aun sospecho que voy los trece versos acabando; contad si son catorce, y está hecho.
Page 200 - Strange Surprising Adventures of the Venerable GS and his Five Disciples, Noodle, Doodle, Wiseacre, Zany, and Foozle : adorned with Fifty Illustrations, drawn on wood, by Alfred Crowquill. A companion Volume to " Miinchhausen " and
Page 2 - Pondichéry peu après ; en 1721, il fut nommé courtieradjoint de la Compagnie : le courtier titulaire était un certain Gourouvappamodély, qui était venu en France, qu'on y avait baptisé solennellement (Louis XIV lui avait servi de parrain) et qu'on avait anobli en lui conférant le titre de chevalier. Le courtier, appelé d'abord modéliar (proprement mudaliyâr, de mudal « premier »), était en quelque sorte l'agent général de la Compagnie des Indes, l'intermédiaire entre elle et les...

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