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vers et en prose, attribués à Évrard de cité relativement à l'histoire du Hainaut,
Béthune, 136-139.

-

F.

Faculté de Théologie de l'Université
de Paris. En quelle année fut publié
le catalogue des 866 docteurs de Sor-
bonne qui se trouvaient pour lors con-
temporains, p. xxxii.

Faganus et Duvianus, réputés fonda-
teurs de trois archevêchés et de vingt-
huit évêchés en Angleterre, 100.

Ses

FAIDIT OU FAIDITZ ( Gaucelin), trou-
badour, né à Uzerche, au diocèse de Li-
moges. Erreur de Nostradamus à ce su-
jet, 486, 487. Son mariage, autre
erreur de Nostradamus, 488.
prétentions auprès de Marie, comtesse
de Ventadour. Espiéglerie qu'une dame
lui fait subir à cette occasion, 489.
Il accompagne Richard, Coeur-de-Lion,
dans la croisade de 1190; p. 491.
Rival d'Alphonse Ier, comte de Pro-
vence, dans une de ses galanteries, 492.
- Il meurt à Sault, en 1218 ou 1220;
p. 493. A-t-il composé une comédie?
ibid. Mérite de ses vers; formes ly-
riques de son style, 494 et suiv.

-

-

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FALCONET, troubadour. Voy. FAURE.
- Il fréquente la cour de Boniface III,
marquis de Montferrat. Sa tenson avec
le troubadour Faure, 529.

Fastrade, abbé de Clairvaux, cité
365-67.

FAURE OU FABRE, troubadour. Sa ten-
son avec le troubadour Falconet contre
plusieurs seigneurs, 88, 89. Cette pièce
doit être placée chronologiquement en-
tre les années 1204 et 1218; p. 529.

Fichet (Guillaume), introducteur de
! imprimerie à Paris; en quelle année il
fit sa licence en Sorbonne et quel numéro
de mérite il y obtint comparativement
avec son ami Lapierre qui coopéra à cet
établissement, p. xxxi.

Femmes qu'au XIIIe siècle, et de-
puis le temps de Bède, on supposait se
changer en serpents, et bandelette blan-
che qui, disait-on, les faisait recon-
naître, go.

Foemina, titre d'un singulier poëme
en langue romane. -Citation d'un frag-
ment de ce poème, 634.

Fontaine de toute science, manuscrit

|

185.

Fontette. Méprise qu'il a commise en
prenant pour autographe de Gervais
de Tilbury un manuscrit des Otia impe-
rialia, dont l'écriture n'est que du
XVIe siècle, 106.

Foulques de Neuilly, prêche la croi-
sade, en 1199, aux seigneurs champe-
nois réunis au château d'Escry, 151,
152, 205, 261.

Frédéric II, empereur. Description en
vers latins des circonstances de son élec-
tion à l'empire, 290.- Description de
son entrée triomphale à Pavie, 292.

Frères aux asnės, dénomination vul-
gaire qu'au XIIIe siècle on donnait aux
religieux de l'ordre de la Merci, p. 148.

G.

Gandeleu, village voisin de Meaux
et première retraite de Jean de Maytha
et de Félix de Valois, instituteurs de
l'ordre de la Merci, 144.

Gatto ou Cattus. Machine de guerre
et d'invention qui paraît italienne, 203.
Gaucher de Chatillon, bienfaiteur du
premier établissement français de l'ordre
de la Merci, p. 145.

GAUDAIRENCE. La dame Gaudairence,
troubadour, femme de Raimond de
Miraval, 460, 465.

Gauthier de Villebéon, père de Gau-
tier de Nemours, 21.

GAUTIER DE NEMOURS, dit LE Jeune,
grand-chambellan de France. — A quel
autre Gautier a-t-il succédé dans cette
charge? Moyens de déterminer l'époque
de cette succession, 214. Ne paraît pas
avoir été le même que Gantier de Joi-
gny, qui ne fut grand-chambrier que vers
l'an 1228, ni que Gautier, dit le Jeune,
et pour plusieurs raisons développées,
p. 215. Vers quelle époque la charge de
grand-chambellan fut-elle démembrée
de celle de grand-chambrier? preuve
de la distinction formelle qu'on faisait
entre ces deux titres, tirée d'une dona-
tion de Philippe-Auguste, où le dona-
taire et l'un des témoins de l'acte sont
tous deux cités avec le titre de camera-
rius, 216. — Détails sur les fonctions
différentes de chacune de ces deux char-
ges, ibid. — Détails tirés de Guillaume

-

imaginés, 90.

--

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le Breton qui font connaitre en quoi pour preuve, ibid. Après avoir donné consistaient les archives dont Richard, une recete pour rendre l'eau de la mer roi d'Angleterre, s'empara, par surprise, potable, quelle distinction il établit entre dans l'attaque du camp de Philippe-Au-les deux cieux et les deux enfers qu'il a guste, 217. Répo, se aux doutes proposés par Freret lorsqu'il fait considérer comme insufusants à cette époque, les moyens de rétablir les titres de la couronne qui devaient composer les archives enlevées par Richard, 218. Remarques judicieuses de l'académicien Bonami et idée qu'il nous donne du travail de Gautier comparé à celui de frère Guérin. Silence de nos biographes sur le Gautier qui fait le sujet de cet article, 219.

Gerson (Jean de), premier de mérite de sa licence en théologie; en quelle année? p. xxx.

GERVAIS DE TILBURY, sénéchal du royaume d'Arles. - Preuves de son ori. gine anglaise, mais aussi de ce qu'il était naturalisé Français, 82. - Pitseus mal fondé à supposer que Gervais était neveu de Henri II, roi d'Angleterre; source probable de cette méprise, 83.

Répartition qu'il fait de tous les divers pays entre les trois parties de la terre, 92.-Il confirme, en la reproduisant, l'origine pontique de l'ancien peuple Osci, que Raban Maur avait indiquée au IX®, siècle, d'après quelque ancien auteur qui nous est aujourd'hui inconnu, 93. Sa description de l'Europe et des divers états dont elle se composait de son temps, 95 et suiv. — Son explication des tremblements de terre, dans le même chapitre où il assigne avec précision quelles étaient de son temps les limites du royaume d'Arles, 97. Portrait peu flatteur qu'il fait des Provençaux de son siecle, ibid. — Exactitude approximative avec laquelle il fixe la fondation des murs de Troie vers l'an 1400 avant Jésus-Christ, 98. - Comment il traite de l'origine des Bretons conformément aux rêveries de son temps, 99. Il fait Fonctions qu'il a d'abord remplies connaître qu'il composa son ouvrage à dans la cléricature et l'enseignement de l'époque des premiers démêlés qui eula jurisprudence, .84. Son ouvrage rent lieu entre l'empereur Otton et le de Quis imperialibus, mal intitulé Chro- pape Innocent III, c'est-à-dire vers nicon par Vossius; composé vers quelle l'an 1210; p. 100. — Récit qu'il fait de année? ibid.—Dans quelle intention dé- la bataille qui rendit Guillaume-le-Condié à l'empereur Otton, 85.-Gervais quérant maître de l'Angleterre, 101. pensait que le monde était rond et que la Sixain latin qu'il cite et qui fut fait terre était carrée, ibid. —Il entreprend en l'honneur de Henri II, ibid. - Anecde réfuter l'erreur suivant laquelle les dote touchant un Anglais qui était venu Albigeois reconnaissaient deux Dieux, demander à Roger, roi de Sicile, la 86.Il nous fait l'histoire des premières permission d'emporter dans son pays œuvres de la création; ibid. — Conti- les ossements de Virgile, pour les innue cette histoire par celle de la créa-terroger sur la magie, ibid. - Sa lettre tion des animaux de toute espèce, qu'il écrite au secrétaire d'Otton pour le charentremêle des contes les plus absurdes, ger de présenter à cet empereur l'ou87.Monarchies principales qu'il fait | vrage de Otiis imperialibus, 104. --- Jusuccéder à celle d'Adam et opinions bi-gement porté sur le style de cet auteur, zarres qu'il émet pour fixer quel est le centre de la terre, 88. — Idées des anciens qu'il emploie pour démontrer quelle était l'excessive hauteur du mont Olympe, ibid. - Comment il explique assez bien pour son temps, la formation des nuages et de la pluie, tout en • prétendant qu'il n'en était pas tombé sur terre avant Noé, 89. Il prétend aussi que la mer reste suspendue dans l'air, et CONTE absurde qu'il en fournit

Tome XVII.

dans lequel Ducange a puisé beaucoup d'exemples pour son Glossaire, 105.

Quels ont été, en différents temps, les éditeurs des diverses parties de cet ouvrage? ibid. — MS. qu'en possède la Bibliothèque du Roi, et erreur touchant celui qu'on a cité comme autographe de Gervais lui-même, 106.-Motifs sur lesquels on se croit bien fondé à ne pas le considérer comme auteur d'un livre qui traite des lois et des coutumes de 0000

la cour de l'échiquier, ibid. Preuve d'hommes de lettres de son temps, 59-

-

-

64. Additions et corrections qu'il fit
à l'Aurora de Pierre de Riga, 65. — Ses
vers sur l'éternité des peines de l'en--
fer, 67.

-

GIRAUD DE CALENSON, troubadour. I
vivait encore en 1215; p. 578. Soins
qu'il apporte à l'harmonie de ses vers,
ibid. et 580. Un de ses sirventes,
580, 581.

à l'appui de cette opinion, tirée du style
de cet ouvrage et de ce que son auteur
était ecclésiastique, quand Gervais n'é-
tait plus clere, mais marié et exerçant
une charge militaire, 107. Autres
raisons tirées de la distance probable
des âges comparés des deux auteurs des
deux ouvrages, par rapport à la vingt-
troisième année du règne de Henri II,
ibid. Développement de quelques GIRAULD DE BORNEILH, troubadour.
autres raisons qui ne permettent pas Originaire de Sidueil, village de la vi-
d'attribuer le Dialogue de l'Échiquier à comté de Limoges, 447. - Né vers l'an
Gervais de Tilbury, 108-109. Indi-1160; p. 448. Ne vivait plus en 1219;
cation finale de trois autres opuscules p. 450. Régularité de ses mœurs,
attribués à notre anteur, mais qu'on | 447. — Extrême concision du style de
n'a pu trouver ni MSS. ni imprimés, quelques-unes de ses pièces; elle est
109.
volontaire, 450. Exemples de cette
concision, 451, 454. Facilité de son
style dans d'autres pièces : exemples,
452 et suiv.

Gilbert, abbé de Hoyland. Cité pour
ses commentaires sur le Cantique des
cantiques, 79-

-

Gilbert de la Porée. Son commentaire
sur les livres de la Trinité par Boëce, 2.
GILLES DE PARIS, poète latin. Coup❘
d'œil sur les différents poètes latins du
nom de Gilles, qui ont fleuri au com-
mencement du XIIIe siècle, 36. - Con-
jectures sur le motif qui fit appliquer à
Gilles de Corbeil le surnom de Del-
phique, 38. C'est Gilles de Paris qui
nous apprend lui-même, dans ses vers,
tout ce que l'on sait de sa vie, ibid. — En
quelle année il naquit, et à quel âge il
travaillait à son grand poème du Caro-
linus, 39. Dans sa jeunesse, il fit des
vers facétieux et des satires, ibid. — Il
fut chanoine de l'église de Saint-Mar-
cel, et député de son chapitre vers le
pape, ibid.
Il présente, en 1200, son
Carolinus à Louis, fils de Philippe-Au-
guste et héritier présomptif de la cou-
Dans ce poème, il blâme
ouvertement Philippe-Auguste de son
divorce avec Ingelburge, 41. Nous
ne connaissons que trois de ses ouvrages,
et nullement les Moralités, en prose,
qu'il avait composées, 42. - On croit
pouvoir placer sa mort entre 1210 et
1220 ; p. 43. —Le plus important de ses
poèmes est le Carolinus. C'est une espèce
d'épopée où sont retracées la vie et les
hautes vertus de Charlemagne, ibid. — |
Analyse des cinq livres du poème, et
surtout du cinquième, dans lequel il
fait connaître une foule de poètes et

ronne, 40.

-

-

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-

Girault de Pépieux. Traitement cruel
qu'il fait subir à deux croisés chargés
près de lui d'une mission, 250.

Gislebert de Mons. Silence qu'il garde
dans sa chronique sur l'année de la
naissance de Henri de Hainaut, empe-
reur de Constantinople, 184. Rai-
sons qui pourraient faire penser qu'après
avoir été chancelier de Baudouin le bả-
tisseur, il aurait concouru à l'éducation
de Baudouin et de Henri, empereurs,
198.

Glossaire salique. Verb. Basilica. Cité
pour l'époque à laquelle les églises de
France étaient bâties en bois, 203.

GOBEZEN, troubadour, 569.

Guérinétablit les archives du royaume,
260. Louis VIII le fait chancelier de
France, 383. Guérin prend part aux
expéditions militaires, 338. Il est élu
évêque de Senlis en 1213, et meurt
en 1219; p. 339.

GUI ou GUIGO, dit le seigneur Gui,
troubadour, mort vers l'an 1217; p. 480,
481. Sa tenson avec Bertrand d'Alla-
manon, l'ancien, doit dater de l'an 1181
ou environ, ibid.

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Vers qu'il adresse à Raimond VI, comte
de Toulouse, 545. — Voy. p. 549.

GUI D'UISSECH, troubadour, 551. Ses
Jeux-Partis avec Elias et Ebles d'Uissech,
553. Défense que lui fait le légat du
pape de composer des chansons, 555.-
Diverses pièces de lui, 556 et suiv.
GUILLAUME IV, prince d'Orange, trou-

badour. Turbulence de son caractère.

Créé roi d'Arles, par l'empereur Frédé-
ric II, en 1214. Vengeance qu'un com-
merçant français tire de lui, 483.

-

Mort en 1218. Ecorché vif, 484.
Sa tenson avec Gui, seigneur de Cavail-
lon, 485.

|

|

tations de la Philippide, 352-355. — La
Carlotide, poème en l'honneur de Pierre
Carlot, entrepris par Guillaume-le-
Breton, et aujourd'hui perdu, 342. —
Autres personnages qui ont porté le
nom de Guillaume-le-Breton : un prieur
de Cantorbery, au XII° siècle; un moine
anglais, au XIV, auteur de livres de

grammaire; un chroniqueur du XV,

356. — Vers latins de Guillaume-le-
Breton, cités, et faisant connaître en
quoi consistaient les registres qui furent
enlevés par les Anglais à Philippe-Au-
guste, en 1194, près de Bellesoge, en
Blésois, 217. Voyez l'art. Gautier de
Nemours où ces vers sont interprétés,

GUILLAUME-LE-BRETON, historien et

poète, né probablement dans le diocèse Guillaume de Champagne, cardinal,

de Saint-Pol de Léon, au pays des an- archevêque de Reims, oncle de Phi-

ciens Ossimiens, département du Filippe-Auguste; prend, en 1180, la di-

nistère. Date de sa naissance, non dé-rection générale des affaires du royau-

terminée, mais vers 1165. A douze ans

il est envoyé à Mantes; il y commence ses

études et les achève à Paris. Attaché de

bonne heure à la maison du roi, il de-

vient chapelain de Philippe-Auguste,

336, 337. De 1193 à 1201, il fait plu-

sieurs voyages à Rome, pour obtenir le

maintien du divorce de Philippe, et de

son mariage avec Agnès de Méranie,

337, 338. Son crédit à la cour; son ser-

vice auprès du roi, même dans les expé-

ditions militaires Il assiste à la bataille

de Bouvines, en 1214; p. 338, 339. En

1220, il soumet son poeme à la cen-

sure du fils naturel de Philippe-Auguste,

Pierre Carlot, dont il avait été l'insti-

tuteur. Guillaume, pourvu d'un canoni-

cat à Senlis, vivait encore en 1226, mais

il paraît qu'il n'a point survécu à Louis

VIII; 339, 340. Ses écrits: 1o Chro-

nique en prose latine, comprenant un

résumé de celle de Rigord jusqu'en 1208,

et la suite de l'histoire du règne de Phi-heure, fut la cause d'une telle détermi-

lippe-Auguste jusqu'en 1223; manuscrits,

éditions et traduction de cet ouvrage,

340, 341. 2o La Philippide, poème la-

tin en douze livres, précédés de deux

dédicaces, l'une au prince Louis (VIII),

l'antre à Carlot, 342. Analyse du poème,

343-348. Les vingt-quatre derniers

vers adressés à Carlot; addition de

vingt-quatre autres vers, 348. Obser-

vations sur les caractères et les formes

de ce poème, 349-352. Manuscrits, édi- |

tions, commentaires, traductions, imi- liers, 305.

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572.

GUILLAUME-LE-PETIT, ABBÉ DU BEC.
Indiqué sous le seul nom de Guillel-
mus II, dans le Gallia christiana, 79.

-

80.

Commentaire sur le Cantique des
cautiques, qui lui est attribué et que sa
mort a laissé imparfait, ibid. - - Par quel
abbé anglais continué, et comment,
- Équivoque causée par le même sur-
nom de Parvus que portait aussi Guil-
laume de Neubourg, 81.

-

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-

GUILLAUME (le marquis), troubad., | phrases et comparaisons dont on four-
nit un exemple et qui abondent trop
sans doute dans ce poème, lequel néan-
moins mériterait d'être tiré de l'oubli
dans lequel il paraît être tombé en
France, 294. Par qui le MS. de ce
poème a-t-il été découvert au com-
mencement du XVIe siècle? et détails
sur les six éditions qui en ont été
données successivement, ibid.
Quelle en est la meilleure et la plus
correcte? 295. Autre poème dont
il était auteur, qu'il cite dans son
Ligurinus, et dont on ne connaît au-
jourd'hui aucun MS., ibid. Auteur
encore d'une histoire en prose de la
prise de Constantinople, sous Baudouin,
mais dont Basnage révoque en doute
l'entière fidélité, 296. Analyse suc-
cinctement critique de cet ouvrage, dont
on fait connaître le style en prose par
un exemple, ibid. Autre ouvrage de
théologie ascétique qui est attribué à
Gunthier. Analyse de cet ouvrage,

Guillaume Pellicier. MS. de sa tra-
duction française de l'histoire de Simon,
comte de Monfort, existant à la Biblio-
thèque de Sainte-Geneviève, cité p. 259.

Autre traduction très-différente de
la même histoire, dont le MS, existe
sous le n° 6645, in-4°, à la Bibliot. du Roi.
GUILLAUME DE RIBES, troubad., 569.
Guiraude, dame de Lavaur. Mort
atroce que Simon de Montfort lui fait
subir, 251.

M. Guizot. La traduction qu'il a publiée
en 1824, de l'histoire de la guerre des
Albigeois, par Pierre de Vaux-Cernay,
citée, 254.

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GUNTHIER, Moine de Pairis, mort l'an
1223. · Confondu à tort avec un autre
moine du même nom, mais clairement
distinct du moine homonyme de Saint-
Amand, 287. A quelle date et dans
quelle province il a terminé sa carrière,
ibid. Auteur du poème intitulé Li-
gurinus, dont on a fait beaucoup d'éloges;
raisons pour lesquelles il n'a pas élevé son
style plus haut que celui du récit histo-
rique, 288. Il se déclare imitateur de
Lucain, dont il partage aussi souvent les
défauts qu'il en retrace les beautés, 289.
-Analyse et citations partielles de ce
poème, 290 et suiv. Assemblée des
seigneurs pour l'élection de Frédéric,
neveu de Conrad, ibid. Détails éty-
mologiques et géographiques des flenves,
des villes, etc., qu'il fait parcourir au
prince après son élection, 291. Des-
cription de l'entrée triomphale de l'em-
pereur dans Pavie, 292. Portrait,
surchargé sans doute d'atrocités, qu'il
fait du peuple qui possédait alors le
territoire de la Pologne, ibid.
portrait d'un scélérat, soudoyé pour
assassiner Frédéric, et discours de cet
empereur à ses soldats, 293. — Péri-

-

-

-

--

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Autre

297.

-

--

GUOSALBO ROZITZ, troubadour, 569.

-

-

-

GUY, ABBÉ DE CLAIRVAUX. Conjec-
tures sur la noblesse de son origine, et
sur la date approximative de sa nais-
sance, qui le faisait considérer comme
contemporain des dernières années de
saint Bernard, 172. Choisi par le
pape, conjointement avec l'abbé de Ci-
teaux, pour juger une question de
droits domaniaux relativement à la terre
des Andelis, ibid. — Élu à l'archevêché
de Reims, comment il demeure iné-
branlable dans le refus de cette haute
prélature, 173. Lettre du chapitre à
cet abbé.
Sa réponse au chapitre,
174. Réplique du chapitre; refus défi-
nitif, plus énergique encore et plus dé-
taillé dans ses motifs, 175. — Idée qu'on
peut se faire de ses compositions épisto-
laires, d'après un passage latin de ses
lettres, traduit dans l'article, ibid.
Quel était probablement l'évêque de
Beauvais qui était désigné dans la ré-
plique de l'abbé Guy? ibid. Distinc-
tion à faire entre les trois prélats du
même nom de Guy, qui étaient alors
connus, ibid. Autres ouvrages qu'on
peut attribuer à celui qui fut abbé de
Clairvaux, 177.

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