La France et Rome: étude historique, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ... d'après les documents inédits tirès des archives de France et de l'étranger |
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affaires années appelait Archives arrivé articles aurait avaient avant c'est-à-dire C'était cardinal catholique cause charge chef choses clergé compte concile concordat Congrégation conseil côté cour de Rome curie d'ailleurs d'autres déclaration dernier devait dire dogme doit donner ecclésiastique effet également enfin établissements États évêques faisait fond force forme général gens gouvernement guerre hommes humain idées intérêts j'ai jésuites jour juge l'Église l'État laissé lettre liberté Louis XIV lutte main maison à Rome maître Majesté Marie Mazarin membres ment ministre monde mort moyens n'avait n'en n'était nation nouveau nouvelle ordre pape parlement particulièrement passé pays Père personne peuple place porter pouvait pouvoir prélats premier présent Prêtres prince pris puissance puisse qu'à qu'un question règle réguliers religieuses religion représentation reste Richelieu rien romaine s'est s'était s'il saint secrétaire séculier sentiments sera seul siècle situation société Sœurs sorte suite suivant Tellier tion titre traité trouve
Popular passages
Page 209 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints Evangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la République française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit au dedans, soit au dehors, qui soit contraire à la tranquillité publique; et si, dans mon diocèse ou ailleurs, j'apprends qu'il se trame quelque chose au préjudice de l'Etat, je le ferai savoir au gouvernement.
Page 211 - Il est convenu entre les parties contractantes que, dans le cas où quelqu'un des successeurs du premier consul actuel ne serait pas catholique, les droits et prérogatives mentionnés dans l'article ci-dessus, et la nomination aux évêchés, seront réglés, par rapport à lui, par une nouvelle convention.
Page 208 - Sa Sainteté reconnaît également que cette même religion a retiré et attend encore en ce moment le plus grand bien et le plus grand éclat de l'établissement du culte catholique en France, et de la profession particulière qu'en font les consuls de la république. En conséquence, d'après cette reconnaissance mutuelle, tant pour le bien de la religion que pour le maintien de la tranquillité intérieure, ils sont convenus de ce qui suit : ART. 1".
Page 264 - Ils ne se permettront, dans leurs instructions, aucune inculpation directe ou indirecte, soit contre les personnes, soit contre les autres cultes autorisés dans l'Etat.
Page 208 - Sainteté déclarera aux titulaires des évêchés français qu'elle attend d'eux, avec une ferme confiance, pour le bien de la paix et de l'unité, toute espèce de sacrifices, même celui de leurs sièges. D'après cette exhortation...
Page 208 - La religion catholique, apostolique et romaine sera librement exercée en France. Son culte sera public, en se conformant aux règlements de police que le gouvernement jugera nécessaires pour la tranquillité publique.
Page 191 - ... se soumettront à enseigner la doctrine qui y est expliquée, et que les syndics des facultés de...
Page 211 - Aucune bulle, bref, rescrit, décret, mandat, provision, signature servant de provision, ni autres expéditions de la cour de Rome, même ne concernant que les particuliers, ne pourront être reçus, publiés, imprimés, ni autrement mis à exécution, sans l'autorisation du gouvernement.
Page 210 - Les Évêques pourront avoir un Chapitre dans leur Cathédrale, et un Séminaire pour leur Diocèse, sans que le Gouvernement s'oblige à les doter.
Page 210 - Sa Sainteté, pour le bien de la paix et l'heureux rétablissement de la religion catholique, déclare que ni elle ni ses successeurs ne troubleront, en aucune manière, les acquéreurs des biens ecclésiastiques aliénés, et qu'en conséquence la propriété de ces mêmes biens, les droits et revenus y attachés, demeureront incommutables entre leurs mains, ou celles de leurs ayants cause.