Revue de Paris, Volume 83Demengeot & Goodman, e.a., 1836 |
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Actéon aimer amour Anna et Louise avaient beau belle Buondelmonte buvait Thraséas c'était carlistes chant Châteaubriand cheval chose Chouk ciel cœur côté coup Crocodile danse Dante Dieu dire don Martin douce enfans espagnol esprit eût Farinata femme fête fleurs Florence foule François Anguier François Ier Furnes gens Gibelins grace Guelfes GUELFES ET GIBELINS heureux histoire homme italienne j'ai j'avais j'étais jeter joie jour Kaout l'ame l'autre l'histoire l'Italie laissé long-temps Louis XIV MADAME URBAIN main maison manteau marbre Martin Scribler ment mille monde MONSIEUR FRIPPET MONSIEUR URBAIN monstre mort n'avait Napoléon Nieuport noble nuit parler passé passions peine peinture pensée petits peuple pieds poème poésie poète porte premier prince et moi Puget qu'un regard reste rien s'était saint science sculpture sera seul siècle Simon Guillain sœur soir soleil sort sourire statue tête tion triste trouve Valence versez-moi du vin vin que buvait voilà voix XVIIe siècle yeux
Popular passages
Page 225 - Lui dis-je en repoussant du front le sacré signe. Arrêtez, arrêtez; tremblez, j'en suis indigne! Mon âme est à mon Dieu , mon sang est à ma foi; Mais mes jours profanés , ils ne sont plus à moi , Et Dieu n'exige pas que je lui sacrifie Deux morts dans une mort, deux cœurs dansune vie.
Page 262 - Oui, nous sommes encor les hommes d'Armorique ! La race courageuse et pourtant pacifique! Comme aux jours primitifs la race aux longs cheveux, Que rien ne peut dompter quand elle a dit : Je veux! Nous avons un cœur franc pour détester les traîtres ! Nous adorons Jésus, le Dieu de nos ancêtres! Les chansons d'autrefois toujours nous les chantons : Oh! nous ne sommes pas les derniers...
Page 263 - Comme aux jours primitifs la race aux longs cheveux, Que rien ne peut dompter quand elle a dit : Je veux! Nous avons un cœur franc pour détester les traîtres ! Nous adorons Jésus, le Dieu de nos ancêtres! Les chansons d'autrefois toujours nous les chantons : Oh! nous ne sommes pas les derniers des Bretons! Le vieux sang de tes fils coule encor dans nos veines, O terre de granit recouverte de chênes!
Page 93 - Collection de documents inédits , sur l'histoire de France , publiés par ordre du roi et par les soins du ministre de l'instruction publique.
Page 272 - Les voitures de masques déniaient pêle-mêle, en se heurtant, en se froissant, entre deux longues haies d'hommes et de femmes hideux, debout sur les trottoirs. Cette muraille de spectateurs sinistres avait, dans ses yeux rouges de vin, une haine de tigre. Sur une lieue de long tout cela grommelait...
Page 260 - Ouvre! c'est moi, Joseph! — Quoi ! si tard en voyage N'as-tu pas rencontré les chiens près du village ? Bon Dieu ! seul et si tard dans le creux des chemins ! A ce feu de Noël viens réchauffer tes mains. Noël! t'en souvient-il? quand; pour bâtir la crèche, Les prêtres nous menaient cueillir la mousse fraîche ? — Ne ris pas! c'est Noël qui chez toi me conduit : Je viens entendre encor la messe de minuit. — Nous irons avec toi toute la maisonnée. Ma jeune femme aussi. Car, depuis une...
Page 31 - ... des rosés, même en peinture. Elle était d'une délicatesse singulière sur tout ce qui touchait son corps. On avait de la peine à lui trouver de la batiste assez fine pour ses chemises et ses draps. Le cardinal Mazarin lui disait, en plaisantant...
Page 312 - Ni le désir ni la volonté ne nous manqueront certes, mais cependant nous ne nous engageons à rien ; cor l'on ne doit promettre que ce que l'on peut tenir; et c'est devant une pareille entreprise qu'il faut reconnaître sa faiblesse, et se contenter de dire : Je ferai le plus et le mieux que je pourrai.
Page 271 - La première fois que je suis entré au jeu, j'avais entendu parler de flots d'or, de fortunes faites en un quart d'heure, et d'un seigneur de la cour de Henri IV qui gagna sur une carte cent mille écus que lui coûtait son habit. Je trouvai un vestiaire où les ouvriers qui n'ont qu'une chemise louent un habit à vingt sous la soirée, des gendarmes assis à la porte, et des affames jouant un morceau de pain contre un coup de pistolet.
Page 261 - Les hommes, les enfants et les femmes ensuite Marchèrent lentement vers la table 'bénite; Et, comme en un festin où beaucoup sont priés, Les mets sont tour à tour servis aux conviés, Dès qu'un communiant avait reçu l'hostie, Du ciboire sortait la blanche Eucharistie. Seul encor je n'eus point ma part de ce repas. Mais quand, les yeux baissés, et murmurant tout bas...