 | Gustave Flaubert - 1862 - 500 pages
...tremblaient, comme si des colibris, en volant , eussent éparpillé leurs plumes. Le silence ctail partout; quelque chose de doux semblait sortir des arbres; elle sentait son cœur, dont les battemenls recommençaient, et le sang circuler dans sa chair comme un fleuve de lait. Alors elle entendit... | |
 | Gustave Flaubert - 1880 - 488 pages
...taches lumineuses tremblaient, comme si des colibris, en volant, eussent éparpillé leurs plumes. Le silence était partout ; quelque chose de doux...delà du bois, sur les autres collines, un cri vague etprolongé, une voix qui se traînait, et elle l'écoutait silencieusement, se mêlant comme une musique... | |
 | Gustave Flaubert - 1911 - 486 pages
...taches lumineuses tremblaient, comme si des colibris, en volant, eussent éparpillé leurs plumes. Le silence était partout ; quelque chose de doux...recommençaient, et le sang circuler dans sa chair comme un fleuvede lait. Alors, elleentendit toutau loin, au delàdu bois, sur les autres collines, un cri vague... | |
 | Maurice Tourneux - 1911 - 1026 pages
...des taches lumineuses tremblaient, comme si des colibris, en volant, eussent Eparpillé leurs plumes. Le silence était partout; quelque chose de doux semblait sortir des arbres;... Rodolphe, le cigare aux dents, raccommodait avec son canif une des deux brides cassée. » Ils rentrent... | |
 | Gustave Flaubert - 1912 - 488 pages
...des taches lumineuses tremblaient, comme si descolibris, en volant, eussent éparpillé leurs plumes. Le silence était partout ; quelque chose de doux...semblait sortir des arbres ; elle sentait son cœur, dont lesbattements recommençaient, et le sang circuler dans sa chair comme un fleuvede lait. Alors, elle... | |
 | George Steiner - 1984 - 448 pages
...lumineuses tremblaient, comme si des colibris, en volant, eussent eparpille leurs plumes. Le silence etait partout, quelque chose de doux semblait sortir des arbres; elle sentait son cceur, dont les battements recommencaient, et le sang circuler dans sa chair comme un fleuve de lait.... | |
 | James A. Winders - 1991 - 212 pages
...lumineuses tremblaient, comme si des colibris, en volant, eussent eparpille leurs plumes. Le silence etait partout; quelque chose de doux semblait sortir des arbres; elle sentait son coeur, dont les battements recommencaient, et le sang circuler dans sa chair comme un fleuve de lait.... | |
 | Lawrence Rothfield - 1994 - 254 pages
...taches lumineuses tremblaient, comme si des colibris, en volant, eussent éparpillé leurs plumes. Le silence était partout; quelque chose de doux semblait sortir des arbres; elle sentait son coeur, dont les battements recommençaient, et le sang circuler dans sa chair comme un fleuve de lait.... | |
 | Michèle Breut - 1994 - 270 pages
...taches lumineuses tremblaient, comme si des colibris, en volant, eussent éparpillé leurs plumes. Le silence était partout; quelque chose de doux semblait sortir des arbres; elle sentait son coeur, dont les battements recommençaient, et le sang circuler dans sa chair comme un fleuve de lait.... | |
 | Roberto Speziale-Bagliacca - 1998 - 188 pages
...began to beat again, and the blood flowing in her body like a river of milk [elle sentait son coeur, dont les battements recommençaient, et le sang circuler dans sa chair comme un fleuve de lait]" (130/195)— becomes a breast producing a poisonous, sticky milk. These are anxieties of an almost... | |
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Le silence était partout; quelque chose de doux semblait sortir des arbres; elle sentait son cœur, dont les battements recommençaient, et le sang circuler dans sa chair comme un fleuve de lait. 
