| 1863 - 420 pages
...confirmer dans l'obéissance. Vain espoir : « La blessure était vivante dans le cœur du maître, et le glaive s'y retournait chaque jour par la main même de celui qui aurait dû l'en arracher et mettre à la place le baume de Dieu (1). » Lacordaire vit bientôt clairement que M. de la Mennais... | |
| 1863 - 410 pages
...confirmer dans l'obéissance. Vain espoir : « La blessure était vivante dans le cœur du maître, et le glaive s'y retournait chaque jour par la main même de celui qui aurait dû l'en arracher et mettre à la place le baume de Dieu (1). » Lacordaire vit bientôt clairement que M. de la Mennais... | |
| Bernard Chocarne (O. P.) - 1868 - 720 pages
...tempêtes, si le ciel de l'Armorique n'était pas changé , il n'en était pas ainsi du cœur du maître. La blessure y était vivante , et le glaive s'y retournait...arracher, et y mettre à la place le baume de Dieu. Des nuages terribles passaient et repassaient sur ce frout déshérité de la paix. Des paroles entrecoupées... | |
| Bernard Chocarne (père) - 1866 - 448 pages
...tempêtes, si le ciel de l'Armorique n'était pas changé , il n'en était pas ainsi du cœur du maître. La blessure y était vivante, et le glaive s'y retournait...arracher, et y mettre à la place le baume de Dieu. Des nuages terribles passaient et repassaient sur ce front déshérité de la paix. Des paroles entrecoupées... | |
| Henri-Dominique Lacordaire - 1870 - 168 pages
...tempêtes, si le ciel de l'Armorique n'était pas changé, il n'en était pas ainsi du cœur du maître. La blessure y était "vivante et le glaive s'y retournait...arracher et y mettre à la place le baume de Dieu. Des images terribles passaient et repassaient sur ce front déshérité de la paix ; des paroles entrecoupées... | |
| Henri-Dominique Lacordaire - 1870 - 176 pages
...tempêtes, si le ciel de l'Armorique n'était pas changé, il n'en était pas ainsi du cœur du maître. La blessure y était vivante et le glaive s'y retournait...arracher et y mettre à la place le baume de Dieu. Des images terribles passaient et repassaient sur ce front déshérité de la paix ; des paroles entrecoupées... | |
| Henri-Dominique Lacordaire - 1871 - 464 pages
...La blessure de l'orgueil irrité était « vivante au cœur du maître ; le glaive s'y rc« tournait chaque jour par la main même de « celui qui aurait dû l'en arracher, et mettre à (l) Mémoires. « sa place le baume de Dieu...; et des paroles « entrecoupées et menaçantes... | |
| Antoine Auguste Léopold Pauthe - 1873 - 340 pages
...si le ciel de l'Armorique n'était « pas changé, il n'en était pas ainsi du cœur du « maître. La blessure y était vivante et le glaive « s'y retournait chaque jour. Des nuages terribles « passaient et repassaient sur ce front déshérité « de la paix, des paroles... | |
| Henri-Dominique Lacordaire - 1880 - 472 pages
...La blessure de l'orgueil irrité était « vivante au cœur du maître; le glaive s'y re« tournait chaque jour par la main même de « celui qui aurait dû l'en arracher, et mettre à (1) Mémoires. « sa place le baume de Dieu...; et des paroles « entrecoupées et menaçantes... | |
| Antoine Ricard - 1883 - 438 pages
...le ciel de l'Armorique n'était « pas changé, il n'en était pas de même du cœur t du maître. La blessure y était vivante, et le « glaive s'y...arracher, et y * mettre à la place le baume de Dieu. Des nua« ges terribles passaient et repassaient sur ce « front déshérité de la paix. Des paroles... | |
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