 | Jean-Jacques Rousseau - 1793 - 414 pages
...eaux m'offrait l'image ; mais bientôt ces impressions légères s'effaçaient dans l'uniformité du mouvement continu qui me berçait , et qui , sans...et par le signal convenu , je ne pouvais m'arracher dé-là sans efforts. Après le soupe, quand la soirée était belle , nous allions encore tous ensemble... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1815 - 284 pages
...eaux m'offrait l'image : mais bientôt ces impressions légères s'effaçaient dans l'uniformité du mouvement continu qui me berçait, et qui, sans aucun...de m'attacher au point, qu'appelé par l'heure et le signal convenu, je ne pouvais m'arracher de là sans efforts." . Ce passage de Rousseau me rappelle... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1815 - 284 pages
...eaux m'offrait l'image : mais bientôt ces impressions légères s'effaçaient dans l'uniformité du mouvement continu qui me berçait, et qui, sans aucun...de m'attacher au point, qu'appelé par l'heure et le signal convenu, je ne pouvais m'arracher de là sans efforts." Ce passage de Rousseau me rappelle... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 796 pages
...eaux m'offrait l'image ; mais bientôt ces impressions légères s'efl'acaicnt dans l'uniformité du mouvement continu qui me berçait, et qui , sans aucun...convenu je ne pouvais m'arracher de là sans efforts. Oihand le lac agité ne me permettait pas la navigation , je passais mon après-midi à parcourir l'île,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 726 pages
...l'uniformité du mouvement continu qui me berçoit, et qui, sans aucun concours actif de mon âme , ne laissoit pas de m'attacher au point qu'appelé par l'heure et par le signal convenu je ne pouvois m'arracher de là sans efforts. Après le soupe, quand la soirée étoit belle , nous allions... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 522 pages
...eaux m'offrait l'image; mais bientôt ces impressions légères s'effaçaient dans l'uniformité du mouvement continu qui me berçait, et qui, sans aucun...était belle, nous allions encore tous ensemble faire quelque tour de promenade sur la terrasse, pour y respirerl'air du lac et la fraîcheur. On se reposait... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 548 pages
...l'image; mais bientôt ces impressions légères s'effaraient dans l'uniformité du mouvement contimi qui me berçait, et qui, sans aucun concours actif...était belle, nous allions encore tous ensemble faire quelque tour de promenade sur la terrasse, pour y respiCINQUIÈ-MEPROMENADE. 3/47 rer l'air du lac... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1825 - 374 pages
...l'uniformité du mouvement continu qui me berçoit, et qui, sans aucun concours actif de mon ame, ne laissoit pas de m'attacher au point qu'appelé par l'heure et par le signal convenu je ne pouvois m'arracher de là sans efforts. Après le souper, quand la soirée étoit belle, nous allions... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1827 - 424 pages
...l'uniformité du mouvement continu qui«me berçoit, et qui, sans aucun concours actif de mon âme, ne laissoit pas de m'attacher au point qu'appelé par l'heure et par le signal convenu je ne pouvois m'arracher de là sans efforts. Après le souper, quand la soirée étoit belle, nous allions... | |
 | Ludwig Ideler - 1831 - 630 pages
...l'uniformité du mouvement continu qui me berçoit, et qui sans aucun concours actif de mon âme, ne laissoit pas de m'attacher, au point qu'appelé par l'heure et par le signal convenu, je ne pouvois m'arracher de là sans efforts. Après le soupe, quand la soirée étoit belle, nous allions... | |
| |
mouvement continu qui me berçait, et qui, sans aucun concours actif de mon âme, ne laissait pas de m'attacher au point qu'appelé par l'heure et par le signal convenu, je ne pouvais m'arracher de là sans efforts. Après le souper, quand la soirée... 
