Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève Et qu'avec la rosée on voit s'évanouir. LA MUSE. Les Missions catholiques - Page 1151920Full view - About this book
| Alfred de Musset - 1841 - 456 pages
...souffert il faut souffrir encore ; Il faut aimer sans cesse, après avoir aimé. LA NUIT D'OCTOBRE. LE POÈTE. Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève Et qu'avec la rosée on voit... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 340 pages
...pourtant, que je vous aime, Qui suit, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ? 1837. LA NUIT D'OCTOBRE LE POÈTE. Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve ; Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève, Et qu'avec la- rosée on voit... | |
| Alfred de Musset - 1866 - 394 pages
...prenait envie. Avec toi j'aimerais la vie; Avec toi je voudrais mourir. 1857 LA MIT D'OCTOBRE LE POETE. Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève, Et qu'avec la rosée on voit... | |
| Alfred de Musset - 1867 - 718 pages
...le disais pourtant, que je vous aiw\€ Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez? 1S97. LE POÈTE. Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve ; Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève. Et qu'avec la rosée on voit... | |
| Alfred de Musset - 1867 - 710 pages
...que je vous aime, Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ? LA NUIT D'OCTOBRE LE POKTE. Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève, Et qu'avec la rosée on voit... | |
| Lambert Sauveur - 1875 - 374 pages
...d'effet que le passé défini, que nous avons tant admiré dans une autre poésie du grand lyrique. LE POÈTE. " Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve ; Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève Et qu'avec la rosée on voit... | |
| Lambert Sauveur - 1875 - 372 pages
...d'effet que le passé défini, que nous avons tant admiré dans une autre poésie du grand lyrique. " Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve ; Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève Et qu'avec la rosée on voit... | |
| Alfred de Musset - 1876 - 352 pages
...que je vous aime ! Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez? 1837. Le* t\;t//T LE POETE. Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève Et qu'avec la rosée on voit... | |
| Henry Tarver - 1876 - 168 pages
...cesse Qu'après avoir juré de vivre sans maîtresse l'ai fait serment de vivre et de mourir d'amour. Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève Et qu'avec la rosée on voit... | |
| Alfred de Musset - 1879 - 340 pages
...aime, Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez? t837. LA NUIT D'OCTOBRE LE i'OËTE. ' Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve ; Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève, Et qu'avec la rosée on voit... | |
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