Voltaire: recueil des particularités curieuses de sa vie & de sa mortJ.-J. Goetschy, 1781 - 141 pages |
Other editions - View all
Common terms and phrases
affez ainfi auffi auroit avoit c'eft c'eſt caufe chofe Chré chrétienne confeffer confolation connoître Curé de St defire Dieu difcours Dom CALMET efprit eſt étoient étoit fage faifoit faint falut fatyres fauffe felon feroit fervice fes écrits feul fiecle fignée fincerement foit font fous fouvent fuis fuivante fujet fuppofant furtout fyftêmes homme impies incrédules interêts J. J. ROUSSEAU j'ai j'avois jufqu'à jufte l'efprit l'Eglife l'incrédulité laiffe lettre lifez ligion loix m'avoit Madame Denis maniere Marquis de Villette MESSENGER mort Mr de Voltaire Mr l'Abbé Gaultier Mr le Curé Mr Vernet n'eft NONOTE occafion paffé paroître penfer perfonne plaifir plufieurs Poëte pouvoit préfent préſence Prince Pruffe raifon refpectable refte Religion réponſe rétractation s'eft s'étoit ſes ſon St Sulpice talens tems théatre vifite WEEKLY REGISTER כג دو دو دو دو رو دو وو رو دو ود وو دو وو وو
Popular passages
Page 96 - Mahomctans donnent fans cefle la mort ou la reçoivent , la Religion chez les Chrétiens, rend les Princes moins, timides , & par conféquent moins cruels, Le Prince compte fur fes fujets , & les fujets fur le Prince. Chofe admirable ! La Religion Chrétienne , qui ne femble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie , fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 137 - ... l'idée feule des maux qu'il fe prépare me trouble l'imagination; la penfée eft trop foible pour les concevoir, & les paroles trop vaines pour les exprimer. Certes...
Page 96 - Pendant que les princes mahométans donnent sans cesse la mort ou la reçoivent, la religion, chez les chrétiens, rend les princes moins timides, et par conséquent moins cruels.
Page 9 - Législateur et en même temps notre Dieu, lequel n'est point venu pour anéantir la nature, mais pour la perfectionner. Il ne nous fait point renoncer à l'amour du plaisir et ne condamne pas la vertu à être malheureuse ici-bas.
Page 108 - Lattaignant, par avis de famille, Au même confesseur ont fait le même aveu. En tel cas il importe peu Que ce soit à Gautier, que ce soit à Garguille. Mais Gautier cependant me semble mieux trouvé : L'honneur de deux cures semblables A bon droit était réservé Au chapelain des Incurables.
Page 39 - Il me dit que c'étoit un petit garçon qui avoit des dispositions surprenantes pour la poésie et me proposa de me l'amener, à quoi je consentis. Il me l'alla chercher et je le vis revenir, un moment après, avec un jeune écolier qui me parut avoir seize...
Page 39 - ... mais d'un regard vif & éveillé, & qui vint m'embrasser de fort bonne grâce. Je n'en appris plus rien depuis ce moment, sinon environ deux ans après, que me trouvant à Soleure, j'en reçus une...
Page 89 - Je crois aussi d'une foi ferme , et je confesse tous et un chacun des articles contenus dans le symbole des Apôtres, que j'ai récité en latin fort distinctement. Je déclare , de plus , que j'ai fait cette même confession de foi entre les mains du révérend père Joseph , capucin , avant que de me cpnfesser.
Page 64 - Le Magiftrat de Francfort , pour le traiter avec quelque douceur , lui laifla la faculté de fe promener dans la ville , en exigeant de lui une promette par écrit , qu'il n'en fortiroit point fans permiffion , ou fans avoir rendu ce qu'on lui demandoit.
Page 41 - Lannoy, que je trouvai à midi chez le marquis de Prié, me demanda ce que c'étoit qu'un jeune homme qu'il venoit de voir à l'église des Sablons...