Revue de Bruxelles: Nouvelle Série, Volume 51848 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
accusés Affre âme Assemblée nationale aujourd'hui avons Belgique Casterman catholicisme catholique chose chrétienne christianisme clergé cœur Compagnie de Jésus conscience Cormenin crimes DANIEL O'CONNELL Dante despotisme dévouement Dieu dire divin Divine Comédie doctrine donner écrivains Edom enfants esprit évêque évêque de Langres famille femmes force François Ier gloire Goerres gouvernement Hautmont hommes humaine idées intelligence jamais Jésus-Christ jeunes jour justice l'abbé l'auteur l'Église l'esprit l'histoire l'homme l'humanité laisser Lamartine lecteurs Ledru-Rollin liberté liberté d'enseignement livre main MAITRE PIERRE ment Messieurs monarchie monde Montalembert morale nation nationale O'Connell œuvre ouvrage pages panthéisme Pape parole passé patrie pensée père personne peuple philosophie Pie IX poëte politique Pontife pouvoir premier prêtre principe protestantisme protestants publique puissance qu'un raison religieux religion république reste révolution rien rois romaine sacrés saint saint Éloi sentiments sera seul siècle social société sorte souverain souveraineté surtout talent tion trouve vérité Vinchant voilà volume vrai
Popular passages
Page 328 - Et cette liberté, qui lui semble si chère, N'est pour Rome, seigneur, qu'un bien imaginaire, Plus nuisible qu'utile, et qui n'approche pas De celui qu'un bon prince apporte à ses États . Avec ordre et raison les honneurs il dispense, Avec discernement punit et récompense, Et dispose de tout en juste possesseur, Sans rien précipiter, de peur d'un successeur. Mais quand le peuple est maître, on n'agit qu'en...
Page 69 - ... ne périt jamais tout entier. Ce n'est pas même la propriété : la propriété aussi peut changer de mains, mais je ne crois pas encore à son anéantissement ou à sa transformation. Mais savezvous ce qui peut périr chez tous les peuples? c'est la liberté.
Page 237 - Gloire à Dieu au plus haut des cieux , et paix sur la terre « aux hommes de bonne volonté , chéris de Dieu ! » • La piété des fidèles a transformé cette grotte en une chapelle.
Page 217 - France si on lui déclare la guerre, et si on la contraint ainsi à grandir en force et en gloire , malgré sa modération ! Responsabilité terrible à la France si la république déclare elle-même la guerre sans y être provoquée ! Dans le premier cas, son génie martial, son impatience d'action, sa force accumulée pendant tant d'années de paix , la rendraient invincible chez elle, redoutable peut-être au delà de ses frontières. Dans le second cas, elle tournerait contre elle les souvenirs...
Page 216 - La Monarchie et la République ne sont pas, aux yeux des véritables hommes d'Etat, des principes absolus qui se combattent à mort ; ce sont des faits qui se contrastent et qui peuvent vivre face à face, en se comprenant et en se respectant. La guerre n'est donc pas le principe de la République française comme elle en devint la fatale et glorieuse nécessité en 1792.
Page 467 - N'applaudissons pas, Messieurs, la parole de Dieu ; croyons-la, aimons-la, pratiquons-la, c'est la seule acclamation qui monte jusqu'au ciel et qui soit digne de lui. Je devrais finir, Messieurs, puisque vous m'avertissez de l'heureuse inutilité de mon discours. Permettezmoi cependant, avant de le clore, de rechercher pourquoi l'idée de Dieu est populaire, et si cette popularité ne serait qu'une vaine illusion du genre humain.
Page 116 - ... infailliblement la réciprocité. Oui , catholiques , entendez-le bien , si vous voulez la liberté pour vous, il vous faut la vouloir pour tous les hommes et sous tous les cieux. Si vous ne la demandez que pour vous, on ne vous l'accordera jamais; donnez-la où vous êtes les maîtres, afin qu'on vous la donne là où vous êtes les esclaves.
Page 61 - Ainsi donc, je ne viens pas parler pour des vaincus, mais à des vaincus, vaincu moi-même à des vaincus, c'est-à-dire aux représentants de l'ordre social, de l'ordre régulier, de l'ordre libéral qui vient d'être vaincu en Suisse et qui est menacé dans toute l'Europe par une nouvelle invasion de barbares. (Sensation.} Telle est ma conviction ; et je regarde comme bien aveugles ceux qui ne la partageraient pas.
Page 217 - ... étaient méconnus ou menacés. » La république française n'intentera donc la guerre à personne. Elle n'a pas besoin de dire qu'elle l'acceptera, si on pose des conditions de guerre au peuple français. La pensée des hommes qui gouvernent en ce...
Page 204 - Votre théorie sociale sera simple et infaillible : en prenant Dieu pour point de départ et pour but, le bien le plus général de l'humanité pour objet, la morale pour flambeau, la conscience pour juge, la liberté pour route, vous ne courrez aucun risque de vous égarer...