Correspondance avec Pache, ministre de la guerre, pendant la campagne de la Belgique, en 1792 |
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11 novembre 22 novembre 29 octobre agens approvisionnemens armée artillerie assignats auroit Autrichiens avez avoit bataillons Belges Belgique besoins Beurnonville Bintche Bruxelles campagne chevaux citoyen d'Espagnac citoyen Malus citoyen ministre citoyen Pache citoyen Ronsin Clairfait Coblentz Cologne colonel comité des achats commande commissaire commissaire-ordonnateur compagnie Masson confiance conseil exécutif provisoire convention nationale corps d'armée décembre décret dépêche Dumourier au citoyen envoye envoyer étoit falloit farines fourrages général Custine général d'Harville général Dumourier général la Bourdonnaye général Thouvenot général Valence Givet guerre au général I.me LETTRE j'ai J'espère l'an premier l'armée LETTRE De Dumourier Lettre de Pache LETTRE Du général Lettre du Ministre Liége Luxembourg magasins Malus et d'Espagnac mande marché Mayence même-tems Meuse militaires mille hommes mois Moselle Namur nécessaire novembre numéraire octobre ordres passer pays Pays-Bas peuple plan pouvoir exécutif Prussiens Rhin Ruremonde sera seroit service subsistances succès systême talens tems Tirlemont toyen Trèves troupes Valenciennes vention nationale
Popular passages
Page 264 - ... et les castes privilégiées; elle promet et s'engage de ne souscrire aucun traité , et de ne poser les armes qu'après l'affermissement de la souveraineté et de l'indépendance du peuple sur le territoire duquel les troupes de la République sont entrées, qui aura adopté les principes de l'égalité , et établi un gouvernement libre et populaire.
Page 140 - Au nom de la nation, le Conseil exécutif provisoire mande et ordonne à tous les Corps administratifs et Tribunaux, que les présentes ils fassent consigner dans leurs registres, lire, publier et afficher dans leurs départements et ressorts respectifs, et exécuter comme loi. En foi de quoi nous avons signé ces présentes, auxquelles nous avons fait apposer le sceau de l'Etat.
Page 140 - Au nom de la République, le Conseil exécutif provisoire mande et ordonne à tous les corps administratifs et tribunaux que la présente loi ils fassent consigner dans leurs registres, lire, publier et afficher, et exécuter dans leurs départements et ressorts respectifs; en foi de quoi nous y avons apposé notre signature et le sceau de la République.
Page 30 - Vous avez aussi des injures, des violences et des crimes à venger. Joignez-vous à nous pour que nous ne confondions pas les Belges avec les Allemands dans le cas où, par apathie...
Page 55 - Français veulent établir chez leurs voisins, d'après leurs longues et vaines réclamations et d'après les efforts malheureux qu'ont fait les Belges pour conquérir la liberté ; si quelque partie de la Belgique est assez abrutie pour ne pas sentir l'avantage et la majesté de sa souveraineté, dans le moment où les Français emploient leurs...
Page 56 - Belges, le général annoncera à cette province, à celte ville, à ce bourg ou à ce village qu'ils seront traités comme les vils esclaves de la maison d'Autriche, et que les armées de la République, pour se venger des atrocités commises par les féroces soldats de ce féroce despote, mettront les villes en cendres et lèveront des contributions qui feront souvenir longtemps de leur passage.
Page 30 - Liberté, sans nous mêler en rien à la Constitution que vous voudrez adopter. Pourvu que vous établissiez la souveraineté du peuple et que vous renonciez à vivre sous des despotes quelconques, nous serons vos frères, vos amis et vos soutiens.
Page 159 - ... et sa confiance, à cet égard, » a été bien établie. Par votre lettre du 14, après m'avoir demandé 20 bataillons de garnison, vous » ajoutez : » Rien n'est plus pressant que cette » mesure, et je vous la demande avec d'autant plus d'instance que c'est entre la Meuse et le Rhin » que je dois prendre mes quartiers...
Page 31 - Allemands , dans le cas où , par apathie, vous les laisseriez maîtres de vos villes, que nous serions obligés de bombarder et de brûler pour détruire cette horde barbare qu'il vous est facile de chasser à jamais, si vous joignez vos armes aux nôtres. Belges, nous sommes frères; notre cause est la même: vous avez donné trop de preuves de votre impatience pour le joug, pour que nous ayons à craindre d'être obligés de vous traiter en ennemis. (V > V î.
Page 53 - Je peuple ; il lui déclarera de la part de la république française , que non - seulement le peuple est libre et dégagé de l'esclavage de la maison d'Autriche, mais que, par le droit imprescriptible de la nature , c'est lui , peuple , qui est le souverain , et que nulle personne n'a autorité sur lui , si ce n'est lui-même qui délègue une portion de sa souveraineté.