| Lacretelle - 1814 - 474 pages
...SaintAuban, qui venait de s'y laisser surprendre. Il lui met Tépée sur la gorge : Méchant , lui dit-il , tu es cause de nous faire perdre la ville , ce que tu ne verras jamais ; car je te tuerai tout à cette heure , ou tu sauteras dedans. — Oui, monsieur, j'y sauterai, répond J'officier tout épouvanté... | |
| Claude Bernard Petitot, Petitot (M., Claude-Bernard), Alexandre Petitot, Louis-Jean-Nicolas Monmerqué - 1824 - 538 pages
...ville, et laissa le commandement à son neveu qui manquoit d'expérience. Cette même nuit, le Tort fut vivement attaqué, et Montluc, instruit de la...qui s'augmentèrent encore dans les guerres civiles, où ils combattirent sous des bannières différentes. Après la paix de Cateau-Cambresis, Saint-Auban... | |
| Claude Bernard Petitot - 1824 - 536 pages
...qui yaloit douze sous. On l'appeloit ainsi parce que la tête du roi y étoit représentée. 2 g . le jeune capitaine avec son général. Sa compagnie...qui s'augmentèrent encore dans les guerres civiles, où ils combattirent sous des bannières différentes. Après la paix de Cateau-Cambresis, Saint-Auban... | |
| Jacques Pape de Saint-Auban - 1824 - 76 pages
...attaqué, et Montluc, instruit de la faute du capitaine, vola au secours de ce poste important. Il étoil sur le point de s'y précipiter, lorsqu'il vit arriver...qui s'augmentèrent encore dans les guerres civiles, où ils combattirent sous des bannières différentes. Après la paix de Cateau-Cambresis, Saint-Auban... | |
| Claude Barnard Petitot - 1824 - 534 pages
...son neveu qui manquoit d'expérience. Cette même nuit, le fort fut vivement attaqué, et Monlluc, instruit de la faute du capitaine, vola au secours...tu ne verras jamais, car je te tuerai tout à ceste K heure, ou tu sauteras dedans. » Saint-Auban , sentant ses torts, s'empressa d'obéir au général... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1838 - 634 pages
...Saiut-Aubau qui arrivait, et soudain lui metlanl l'épée à la gorge : « Paillard , meschaul, lui dit-il, tu es cause de nous faire perdre la ville, ce que tu ne verras jamais, car je te tueray tout-à-ces(e heure, ou tu sauteras dedans. » Saint-Auban répara sa faute en chassant l'ennemi... | |
| Adolphe Rochas - 1860 - 530 pages
...accourait en toute hâte, e Paillard, mes« cband, « cria-t-il, en lui mettant l'épée à la gorge, « tu es cause de nous « faire perdre la ville; ce que tu ne «. verras jamais, car je te tueray tout « à ceste heure, ou tu sauteras dedans.» Saint-Auban, reconnaissant sa faute, se hâta... | |
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