| Claude Barnard Petitot - 1824 - 534 pages
...barricades , et y fusmes trois jours sans peine, fors quelque legere alarme. Au quatriesme nous y fusmes attaquez sur le matin à une heure du jour par quatorze...precedente, ayant eu advis de nos sentinelles escartées dela venue des ennemis en gros, qu'une petite pluye avoit empesché de donner dès le soir, j'avois... | |
| Jacques Pape de Saint-Auban - 1824 - 76 pages
...barricades , et y fusmes trois jours sans peine, fors quelque légère alarme. Au quatriesme nous y fusmes attaquez sur le matin à une heure du jour par quatorze...de Varambon ; mais Dieu voulut que dès la minuit précédente, ayant eu advis de nos sentinelles escartées delà venue des ennemis en gros, qu'une... | |
| Robert Macquéreau - 1838 - 658 pages
...barricades; et y fumes trois jours sans peine , fors quelque légère alarme. Au qualriesme nous y fusmes attaquez sur le matin à une heure du jour par quatorze...marquis de Varambon; mais Dieu voulut que dès la minuit précédente, ayant eu advis de nos sentinelles escartées de la venue des ennemis en gros, qu'une... | |
| Jean Alexandre C. Buchon - 1838 - 656 pages
...barricades; et y fumes trois jours sans peine , fors quelque légère alarme. Au quatriesme nous y fusmes attaquez sur le matin à une heure du jour par quatorze...marquis de Varambon; mais Dieu voulut que dès la minuit précédente, ayant eu advis de nos sentinelles escartées de la venue des ennemis en gros, qu'une... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1851 - 628 pages
...barricades et y fusmes trois jours sans peine, fors quelque légère alarme. Au quatriesme nous y fusmes attaquez sur le matin à une heure du jour par quatorze cens harquebusiers et hait cens chevaux conduits par le marquis de Varambon ; mais Dieu voulut que dès la minuit précédente... | |
| comte Jules Delaborde - 1886 - 596 pages
...et y fusmes trois jours, sans peine, » fors quelque legère alarme. » Au quatriesme, nous y fusmes attaquez, sur le matin, » à une heure du jour, par...par le marquis de Varambon; » mais Dieu voulut que, des la minuit précédente, ayant eu » advis, de nos sentinelles escartées, de la venue des enne»... | |
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