 Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet...  Les écrivains politiques du XVIIIe siècle - Page 286by Albert Bayet, François Albert - 1904 - 446 pagesFull view - About this book
 | Joseph de La Porte - 1768 - 494 pages
...fans lefquels il eft impoffible d'être bon citoyen , ni fujet fidele. Sans pouvoir obliger perfonne à les croire ; il peut bannir de l'état quiconque ne les croit pas , non comme impie , mais comme infociable , comme incapable d'aimer fmcerement les loix de la juftice... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1793 - 428 pages
...pourvu qu'ils soient bous citoyens dans celle-ci. Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles...précisément comme dogmes de religion , mais comme sentimens de sociabilité , sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidellc. (... | |
 | 1805 - 402 pages
...de fixer les ar» ticles, non pas précisément comme dogmes de » religion , mais comme sentimens de sociabilité , .» sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen >> ni sujet fidèle. Sans pouvoir obliger personne à » les croire, -il peut bannir de l'état quiconque ne » les croit... | |
 | 1798 - 448 pages
...membres , qu'autant qu'il* se rapportent à la société. Il ya une profession de foi purement civile , dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogme de religion , mais comme sentimens de sociabilité , sans lesquels il est impossible d'être... | |
 | Pierre Gourju - 1816 - 470 pages
...en fixera les articles » non pas précisément comme dogmes de relij» gion, mais comme sentimens de sociabilité , » sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen » ni sujet fidèle. — Et quels sont ces dogmes ? » lui demanda-t-on. —L'existence de la Divinité » puissante , intelligente... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 486 pages
...pourvu qu'ils soient bons citoyens dans celle-ci. Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles,...sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen (i) Dans la république, dit le marquis d'Argenson , chacun est parfaitement libre en ce qui ne nuit... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 656 pages
...pourvu qu'ils soient bon» citoyens dans celle-ci. Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles...précisément comme dogmes de religion , mais comme sentimens de sociabilité , sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle (b).... | |
 | Benjamin Constant - 1818 - 522 pages
...toutes les prétentions de la tyrannie. « II ya , dit-il , une profession de foi pure» ment civile , dont il appartient au souverain » de fixer les articles, non pas précisément » comme dogme de religion , mais comme sen» timens de sociabilité. Sans pouvoir obliger » personne à croire... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 494 pages
...pourvu qu'ils soient bons citoyens dans celle-ci. Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles,...précisément comme dogmes de religion , mais comme sentimens de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle (i).... | |
 | Jean Chas - 1819 - 600 pages
...souverain de fixer 022 les articles , non pas précisément comme dogmes de religion , mais commesentimens de sociabilité , sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle. Il peut bannir de l'Etat quiconque ue les croit pas , non comme impie , mais comme insociable , comme... | |
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