Je le suis, ma Psyché, de toute la nature : Les rayons du soleil vous baisent trop souvent, Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent : Dès qu'il les flatte, j'en murmure ; L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche,... Répertoire du Théâtre français ... - Page 2481824Full view - About this book
| Molière - 1739 - 300 pages
...la nature. Les rayons du foleii vous baifent trop fouvent ; Vos cheveux fouftrent trop les careifes du vent , Dès qu'il les flatte , j'en murmure ; L'air même que vous refpirez , Avec trop de plaifir paife par votre bouche ; Votre habit de trop près'vous touche ; Et... | |
| Pierre Corneille - 1740 - 624 pages
...la Nature. Les rayons du Soleil vous baifent trop (auvent ; Vos cheveux (buftrent trop les carefies du vent, Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous refpitez, Avec trop de plaitir pafle par voue bouche ; Votre habit de trog près vous touche > Et (itôt... | |
| Clément (M., Jean Marie Bernard), Jean Marie Bernard Clément - 1775 - 598 pages
...la nature. les rayons du Soleil vous baifent trop ibuvent* Vos cheveux fouffrent trop les careffes du vent« Dès qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vous refpirei , Avec trop de plaifir pafle par votre bouche. Votre habit de trop près vous touche;, Et... | |
| Jean Marie Bernard Clément, Joseph de Laporte - 1775 - 592 pages
...la nature. Les rayons du Soleil vous baifent trop fouvent; Vos cheveux Ibuffrent trop les carefTes du vent. Dès qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vous refpirei , Avec trop de plaifir pafTe par votre bouche. Votre habit de trop près vous touche;, Et... | |
| Jean François Marmontel - 1787 - 564 pages
...la nature. Les rayons du foleil vous baifent trop fouvent j Vos cheveux ibuffrent trop les carefles du vent ; Dès qu'il les flatte , j'en murmure. L'air même que vous reipirezj Avec trop de plaifir pafle par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche. Ce droit... | |
| Honoré-Gabriel de Riqueti comte de Mirabeau - 1792 - 464 pages
...peuttin être jaloux ? ';, : ... .. î . Je le suis, ma Psyché", «je toute la nature: "\ Les rjjons du soleil vous^ baisent trop souvent; "'Vos cheveux souffrent trop les caresses durent; , , iDes qu'il les flatre, j'en murmure; L'air tnêtue que vous respirez , • '' Avec trop... | |
| Antoine Arnauld (jr.), Claude Lancelot - 1803 - 522 pages
...L'Amour répond : Je le suis , ma Psyché , de tonte la nature , Les rayons du soleil vous frappent trop souvent. Vos cheveux souffrent trop les caresses...Dès qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vons respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche , Votre habit de trop près vous touche 5... | |
| Quintin Craufurd - 1803 - 650 pages
...que c'est que d'aimer. Et puis ce que répond l'Amour, lorsque Psyché lui demande s'il est jaloux: Je le suis, ma Psyché, de toute la nature : Les rayons du soleil vous frappent trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent : Dès qu'il les flatte, j'en... | |
| Quintin Craufurd - 1803 - 658 pages
...que c'est que d'aimer. Et puis ce que répond l'Amour, lorsque Psyché lui demande s'il est jaloux: Je le suis, ma Psyché, de toute la nature : Les rayons du soleil TOUS frappent trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent : Dès qu'il les flatte... | |
| C. J. Cunninghame - 1808 - 208 pages
...l'Amour répond : s » Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les jrayons du soleil vous frappent trop souvent. » Vos cheveux souffrent trop les caresses...respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche, Voire hahit de trop près vous touche; Et sitôt que vous soupirez , Je ne sais quoi qui m'effarouche,... | |
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