Chefs-d'oeuvre oratoires de Fléchier, Bourdaloue: Petit carême de Massillon |
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Chefs-d'OEuvre Oratoires de Fléchier, Bourdaloue: Petit Carême de Massillon ... Esprit Fléchier No preview available - 2018 |
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 11 - Arthénice, où se rendaient tant de personnes de qualité et de mérite qui composaient une cour choisie, nombreuse sans confusion, modeste sans contrainte, savante sans orgueil, polie sans affectation.
Page 35 - Ils furent quelque temps saisis, muets, immobiles. Un effort de douleur rompant enfin ce long et morne silence, d'une voix entrecoupée de sanglots que formaient dans...
Page 57 - Turenne meurt : tout se confond, la fortune chancelle, la victoire se lasse, la paix s'éloigne, les bonnes intentions des alliés se ralentissent, le courage des troupes est abattu par la douleur et ranimé par la vengeance; tout le camp demeure immobile.
Page 456 - Retranchez ces quatre sortes de pécheurs de cette assemblée sainte, car ils en seront retranchés au grand jour. Paraissez, maintenant, justes; où êtes-vous?
Page 56 - Déjà frémissait dans son camp l'ennemi confus et déconcerté. Déjà prenait l'essor pour se sauver dans les montagnes cet aigle, dont le vol hardi avait d'abord effrayé nos provinces.
Page 34 - Je ne puis , messieurs, vous donner d'abord une plus haute idée du triste sujet dont je viens vous entretenir, qu'en recueillant ces termes nobles et expressifs dont l'Écriture sainte se sert pour louer la vie et pour déplorer la mort du sage et vaillant Machabée " : cet homme , qui portait la gloire de sa nation jusqu'aux extrémités de la terre ; qui couvrait son camp du bouclier , et...
Page 455 - Et c'est pour cela que je m'arrête à vous , mes Frères , qui êtes ici assemblés. Je ne parle plus du reste des hommes; je vous regarde comme si vous étiez seuls sur la terre; et voici la pensée qui m'occupe et qui m'épouvante. Je suppose que c'est ici votre dernière heure et la fin de l'univers...
Page 365 - Le royaume devint ensuite l'héritage de leurs successeurs, mais ils le dûrent originairement AU CONSENTEMENT LIBRE DES SUJETS. Leur naissance seule les mit ensuite en possession du trône, mais ce furent les SUFFRAGES PUBLICS qui attachèrent d'abord ce droit et cette prérogative à leur naissance. En un mot, comme la première source de leur autorité vient de nous , les rois n'en doivent faire usage que pour nous.
Page 57 - Chacun choisit l'endroit qui lui paraît le plus éclatant dans une si belle vie. Tous entreprennent son éloge; et chacun, s'interrompant lui-même par ses soupirs et par ses larmes , admire le passé , regrette le présent, et tremble pour l'avenir. Ainsi tout le royaume pleure la mort de son défenseur; et la perte d'un homme seul est une calamité publique.
Page 55 - Les prospérités militaires laissent dans l'âme je ne sais quel plaisir touchant, qui la remplit et l'occupe tout entière. On s'attribue une supériorité de puissance et de force ; I Combat et Ënubeim. on se couronne de ses propres mains; on se dresse un triomphe secret à soi-même; on regarde comme son propre bien ces lauriers qu'on cueille avec peine, et qu'on arrose souvent de son sang : et lors même qu'on rend à Dieu de solennelles actions de grâces, et qu'on pend aux voûtes sacrées...