Oeuvres complètes de Bourdaloue, de la compagnie de Jesus, Volume 15

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J. A. Lebel, 1812
 

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Popular passages

Page 357 - C'est pourquoi Dieu l'a élevé, et lui a donné un nom qui « est au-dessus de tout nom , afin qu'au nom de Jésus tout genou « fléchisse dans le ciel, sur la terre...
Page 387 - C'est ici le pain qui est descendu du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point. 51 Je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement : et le pain que je donnerai c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.
Page 78 - Et quiconque aura quitté pour mon nom sa maison, ou ses frères, ou ses sœurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, en recevra le centuple, et aura pour héritage la vie éternelle.
Page 344 - Ils ne comprenoient pas le merveilleux changement qui se fait dans l'eucharistie, de la substance du pain et du vin, en la substance du corps et du sang de ce Dieu-homme.
Page 377 - Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père.
Page 264 - Que celui qui a deux vêtements en donne à celui qui n'en a point ; et que celui qui a de quoi manger en fasse de même.
Page 150 - Deux hommes montèrent au temple pour prier; l'un était pharisien et l'autre publicain. Le pharisien , se tenant debout , priait ainsi en luimême : Mon Dieu , je vous rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes , qui sont voleurs , injustes , adultères , ni même tel que ce publicain.
Page 211 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger...
Page 224 - Mais je vais vous apprendre qui vous devez craindre : Craignez celui qui , après avoir ôté la vie, a le pouvoir de jeter dans l'enfer.
Page 40 - ... un mot, sur tout ce qui s'offre à une imagination frappée de l'objet qui lui plaît et qui la remplit ; ce sont, en présence de la personne, certaines complaisances du cœur, certaines sensibilités où l'on s'arrête, et qui flattent intérieurement, qui excitent et qui répandent dans l'âme une joie toujours nouvelle; ce sont, dans toute la conversation, des termes de tendresse, des expressions vives et pleines de feu, des protestations animées et cent fois réitérées, des assurances...

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