Point d'excuse pour la vieillesse ou la maladie; on apportait les malades, les infirmes. On estimait l'âge de chacun, on ajoutait des années aux enfants, on en ôtait aux vieillards; tout était plein de deuil et de consternation. Encore ne s'en rapportait-on... Histoire universelle de l'Eglise Catholique - Page 79by René François Rohrbacher - 1857Full view - About this book
| Jules Michelet - 1840 - 692 pages
...•• P.-canius Entropii interpres Gr. e S7a<rtáCov7o5 Si ív riiJots той /ñ, xal Ва/ашГа; de chacun , on ajoutait des années aux enfants , on en ôtait aux vieillards : tout était plein de deuil et de consternation. Encore ne s'en rapportait-on pas à ces premiers... | |
| René François Rohrbacher - 1843 - 562 pages
...déclaraient même ce qu'ils n'avaient pas, et on l'enregistrait. Ni l'âge ni la mauvaise santé n'était une excuse ; on imposait les malades et les estropiés....parce que les Daces, ses ancêtres, avaient été assujétis au cens, lorsque Trajan voulut les punir de leurs fréquentes révoltes. On paya donc pour... | |
| Pierre Adolphe Chéruel - 1855 - 668 pages
...Point d'excuse pour la vieillesse ou la maladie; on apportait les malades, les infirmes. On estimait l'âge de chacun ; on ajoutait des années aux enfants, on en ôtait aux vieillards; tout était plein de deuil et de consternation. Encore ne s'en rapportait-on pas à ces premiers agents... | |
| Adolphe Chéruel - 1855 - 730 pages
...Pointd'excuse pour la vieillesse ou la maladie; on apportait les malades, les infirmes, on estimait l'âge de chacun , on ajoutait des années aux enfants, on en ôtait aux vieillards ; tout était plein de deuil et de consternation. Encore ne s'en rapportait-on ROM 1105 pas à ces... | |
| Jules Michelet - 1861 - 496 pages
...Point d'excuse pour la vieillesse ou la maladie; on apportait les malades, les infirmes. On estimait l'âge de chacun, on ajoutait des années aux enfants, on en ôtait aux vieillards; tout était plein de deuil et de consternation. Encore ne s'en rapportait-on pas à ces premiers agents;... | |
| Pierre Auguste Florent Gérard - 1865 - 854 pages
...Point d'excuse pour la vieillesse ou la maladie : on apportait les malades, les infirmes. On estimait l'âge de chacun ; on ajoutait des années aux enfants, on en ôtait aux vieillards ; tout était plein de deuil et de consternation. Encore ne s'en rapportait-on pas à ces premiers... | |
| J. MICHELET - 1871 - 1028 pages
...Point J'excuse pour la vieillesse ou la maladie ; on apportait les malades, les infirmes. On estimait l'âge de chacun, on ajoutait des années aux enfants, on en ôtait aux vieillards ; tout était plein de deuil et de consternation. Encore ne s'en rapportait-on pas à ces premiers... | |
| François Guizot - 1872 - 604 pages
...Point d'excuse pour la vieillesse ou la maladie ; on apportait les malades, les infirmes; on estimait l'âge de chacun; on ajoutait des années aux enfants ; on en ôtait aux vieillards. Cependant les animaux diminuaient, les hommes mouraient, et l'on n'en payait pas moins pour les morts.... | |
| Georges François Prat - 1874 - 704 pages
...comptait les arbres, les pieds de vigne. On n'entendait que les louets, les cris de la torture On estimait l'âge de chacun, on ajoutait des années aux enfants, on en ôtait aux vieillards ; tout était plein de deuil et de consternation, lîncoie ne s'en rapportait-on pasàces premiers... | |
| François Ragueau - 1882 - 616 pages
...Point d'excuse pour la vieillesse ou la maladie ; on apportait les malades, les infirmes, on estimait l'âge de chacun ; on ajoutait des années aux enfants ; on en ôtait aux vieillards. Cependant les animaux diminuaient, les hommes mouraient et l'on n'en payait pas moins pour les morts.... | |
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