| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 pages
...autre chose encore. Je m'étais figuré une ville aussi belle que grande, de l'aspect le plus imposant, où l'on ne voyait que de superbes rues , des palais de marbre et d'or. En entrant par le faubourg Saint-Marceau, je ne vis que de petites rues sales et puantes , de vilaines... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 494 pages
...autre chose encore. Je m'étais figuré une ville aussi belle que grande, de l'aspect le plus imposant, où l'on ne voyait que de superbes rues, des palais de marbre et d'or. En entrant par le faubourg SaintMarceau, je ne vis que de petites rues sales et puantes , de vilaines... | |
| 1852 - 1204 pages
...à Paris en 1732, « il se figurait une ville aussi belle que grande, de l'aspect le plus imposant, où l'on ne voyait que de superbes rues, des palais de marbre et d'or. » II entra à Paris par le faubourg Saint-Marceau. En 1741, quand il y vint après avoir quitté les... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1858 - 672 pages
...autre chose encore. Je m'étais figuré une ville aussi belle que grande, de l'aspect le plus imposant, où l'on ne voyait que de superbes rues, des palais de marbre et d'or. En entrant par le faubourg Saint-Marceau, je ne vis que de petites rues sales et puantes, de vilaines... | |
| Saint Marc Girardin - 1875 - 408 pages
...à Paris en 1732, « il se figurait une ville aussi belle que grande, de l'aspect le plus imposant, où l'on ne voyait que de superbes rues, des palais de marbre et d'or. » Il entra à Paris par le faub'ourg Saint-Marceau. En 1741, quand il y vint après avoir quitté... | |
| Saint-Marc Girardin, Ernest Bersot - 1875 - 402 pages
...en 1132, « il se figurait une ville aussi belle que grande, de l'aspect le plus imposant, où Ton ne voyait que de superbes rues, des palais de marbre et d'or. » Il entra a Paris par le faubourg Saint-Marceau. En 1741, quand il y vint après avoir quitté les... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pages
...encore. Je m'étais figuré une ville aussi belle que grande, de l'aspect le plus imposant, où Ton ne voyait que de superbes rues, des palais de marbre et d'or. En entrant par le faubourg Saint-Marceau, je ne vis que de petites rues sales et puantes, de vilaines... | |
| Richard Adolf Ploetz - 1878 - 848 pages
...autre chose encore. Je m'étais figuré une ville aussi belle que grande, de l'aspect le plus imposant, où l'on ne voyait que de superbes rues, des palais de marbre et d'or. En entrant par le faubourg Saint- Marceau, je ne vis que de petites rues sales et puantes, de vilaines... | |
| Octave Gréard - 1887 - 400 pages
...moins sincère quand, parti de l'observation de la nature, il se laisse entraîner dans le rêve. ll a rêvé toute sa vie pour lui-même comme pour les...renaître; et il n'est point bien sûr qu'il n'en eut pas, tout en se moquant un peu de lui-même, la réminiscence émue. C'est cette puissance d'imagination... | |
| Octave Gréard - 1889 - 400 pages
...d'apparence, fort surpris, après s'être époumoné, de ne voir paraître ni dame, ni demoiselle qu'attirât la beauté de sa voix ou le sel de ses chansons. S'il...d'imagination qui donne tant de vie au cinquième livre de l' Emile. Les descriptions y abondent; et, comme partout, la grâce naturelle et le génie de Rousseau... | |
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