... jardins, sont à préférer à la maison paternelle, où une fille, délicatement nourrie, toujours flattée ou tancée, toujours assise sous les yeux de sa mère dans une chambre bien close, n'ose se lever, ni marcher, ni parler, ni souffler, et... L'éducation des femmes par les femmes: études et portraits - Page 191by Octave Gréard - 1889 - 360 pagesFull view - About this book
| Jean-Jacques Rousseau - 1802 - 338 pages
...toujours assise sous les yeux de sa mère , dans une chambre bien close, n'ose se lever , ui marcher , ui parler , ni souffler, et n'a pas un moment de liberté pour jouer, sauter, courir, crier, se livrer àla pétuJtiuce naturelle àson âge : toujours ou relâcheineiit dangereux, ou sévérité malentendue... | |
| Aimé Charles Louis Modeste Biret - 1816 - 358 pages
...les yeux « de sa mère, dans une chambre bien « close, n'ose se lever, ni marcher, ni « so uffler et n'a pas un moment de liberté (( pour jouer, sauter, courir, crier, se « livrer à la pétulance, de son âge (i) », Plus loin il fournit cette autre version. « Les couvens sont de véritables écolesi... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 650 pages
...flattée ou tancée , toujours assise sous les yeux de sa mère dans une chambre bien close, n'ose se lever, ni marcher, ni parler, ni souffler, et n'a...se livrer à la pétulance naturelle à son âge: toujours ou relâchement dangereux ou sévérité mal entendue; jamais rien selon la raison. Voilà... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 360 pages
...toujours flattée ou tancée, toujours assise sous les yeux de sa mère dans une chambre bien close, n'ose se lever, ni marcher, ni parler, ni souffler, et n'a...crier, se livrer à la pétulance naturelle à son âge : toujours ou relâchement outré, ou sévérité mal entendue ; jamais rien selon la raison. Voilà... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1820 - 632 pages
...toujours flattée ou tancée, toujours assise sous les yeux de sa mère dans une chambre bien close, n'ose se lever, ni marcher, ni parler, ni souffler, et n'a...crier, se livrer à la pétulance naturelle à son âge : toujours ou relâchement dangereux ou sévérité mal entendue ; jamais rien selon la raison. Voilà... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1823 - 558 pages
...toujours flattée ou tancée, toujours assise sous les yeux de sa mère dans une chambre bien close, n'ose se lever, ni marcher, ni parler, ni souffler, et n'a...se livrer à la pétulance naturelle à son âge: toujours ou relâchement dangereux ou sévérité mal entendue ; jamais rien selon la raison. Voilà... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1825 - 398 pages
...dans une chambre bien close, n'ose se lever, ni marcher, ni parler, ni souffler, et n'a pas unmoment de liberté pour jouer, sauter, courir, crier, se livrer à la pétulance naturelle à son âge: toujours ou relâchement dangereux ou sévérité malentendue; jamais rien selon la raison. Voilà... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1826 - 550 pages
...flattée ou tancée , toujours assise sous les yeux de sa mère dans une chambre bien close, n'ose se lever, ni marcher, ni parler, ni souffler, et n'a..., se livrer à la pétulance naturelle à son âge : toujours ou relâchement dangereux ou sévérité mal entendue; jamais rien selon la raison. Voilà... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1826 - 542 pages
...flattée ou tancée , toujours assise sous les yeux de sa mère dans une chambre bien close, n'ose se lever, ni marcher, ni parler, ni souffler, et n'a..., se livrer à la pétulance naturelle à son âge : toujours ou relâchement dangereux ou sévérité mal entendue; jamais rien selon la raison. Voilà... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 450 pages
...toujours flattéeou lancée , toujours assise sous les yeux de sa mère dans une chambre bien close, n'ose se lever, ni marcher, ni parler, ni souffler, .et...moment de liberté pour jouer, sauter, courir, crier, se'livrer à la pétulance naturelle à son âge : toujours ou relâchement dangereux ou sévérité... | |
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